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Fête de l’Ascension : Une très mauvaise nouvelle pour Bruno Bidjang à Kondengui

Écroué au pénitencier de Kondengui, le célèbre journaliste de Vision 4 devra encore attendre plus d’un mois, pour voir son audience être appelée. La faute, à la célébration commémorative de la montée de Jésus au Ciel qui coïncidait ce 09 mai à la date à laquelle son audience avait d’abord été renvoyée.

Bruno Bidjang

Écroué au pénitencier de Kondengui depuis le 23 février 2024, le célèbre journaliste de Vision 4 devra encore attendre plus d’un mois, pour voir son audience être appelée. La faute, à la célébration commémorative de la montée de Jésus au Ciel qui coïncidait ce 09 mai à la date à laquelle son audience avait d’abord été renvoyée.

Le journaliste Bruno Bidjang est en détention à la prison centrale de Kondengui. Il est poursuivi entre autres pour « propagation de fausses nouvelles ».

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Des sources bien introduites,  Lebledparle.com apprend que la célébration de la fête de l’Ascension qui est tombée ce jeudi 9 mai, a été un coup dur pour le Célèbre homme de main de Amougou Belinga. En effet, c’est ce jour – un jour férié – que devrait se tenir son audience. Du fait de cette malheureuse coïncidence, l’audience a encore été renvoyée au 13 juin 2024, ont précisé les mêmes sources.

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Indignation

Bruno Bidjang devrait donc encore attendre un mois et plus, pour la présentation de son casier judiciaire et les réquisitions du Ministère Public.

Il s’agit là d’un troisième renvoi relativement long qui n’est pas sans susciter des grincements de dents au sein de l’opinion. David Eboutou par exemple, en est à « interpeller les juges qui doivent se prononcer sur ce dossier en correctionnelle ».

« Je suis peiné qu’il soit derrière les barreaux pour un motif pour lequel il aurait pu comparaître libre. »La propagation de fausses nouvelles » pour un citoyen qui peut justifier d’un emploi précis, d’un domicile traçable ou d’une garantie de représentation (garants) devrait a priori donner lieu à une liberté provisoire, s’il est vrai comme le veut le principe que la liberté est la règle et la prison est l’exception », a plaidé David Eboutou.

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