in

Congrès du PCRN : Cabral Libii défend son bilan face aux contestations internes

Cabral Libii, leader du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN), réagit pour la première fois à la contestation de son leadership lancée par Robert Kona.

cameroun cabral Libii

Dans une interview accordée à RFI, il exprime sa « stupéfaction » face à cette démarche et affirme qu’il n’y a rien indiquant une mauvaise gestion du PCRN jusqu’à présent. Cabral Libii souligne les avancées du PCRN depuis son arrivée en 2019, notant l’augmentation du nombre de députés, de conseillers municipaux et la présence dans plusieurs communes. Il insiste sur le fait que le parti s’améliore en termes de performances. Alors que le parti se prépare pour un congrès électif à Kribi en décembre, l’action en justice de Robert Kona pourrait perturber cette manifestation. Cabral Libii reste concentré sur l’organisation du congrès et affirme que le temps révélera la vérité sur les motivations derrière cette contestation.

Pour approfondir :   Présidentielle 2018 : L’UA va examiner la requête de Maurice Kamto relative au recomptage des votes

Cabral s’en remet à Dieu

Cabral Libii ensuite que sa principale préoccupation est la préparation des élections à venir et la finalisation des dispositifs de surveillance du vote. Pour lui, les contestations dont il est victime en interne sont motivées par des raisons inavouées. « Nous sommes davantage préoccupés à achever le maillage et à préparer les dispositifs de surveillance du vote pour les élections qui s’en viennent à grand pas. Mon esprit n’a pas plus de temps à consacrer à des conjectures sur ce qui se cacherait derrière ci ou ça. Moi, je crois fondamentalement en Dieu et je crois que le temps nous révèlera ce qu’il y a derrière », affirme le candidat à la présidentielle 2018.

Pour approfondir :   Nécrologie : l'honorable Antoinette Gbangbaye Epse Narké n'est plus

 


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Francis Ngannou

A’Salfo : « le seul camerounais que nous pouvons accepter comme fort c’est Francis Ngannou »

La revue presse

La revue de presse camerounaise du lundi 27 novembre 2023