in

Affaire Mendomo : le jeune homme dans la sextape dénonce un « montage »

Une vidéo compromettante impliquant Aimé Fotso, un jeune maçon de 23 ans, et une femme mariée du nom de Mendomo, circule actuellement sur les réseaux sociaux au Cameroun. Alors qu’une plainte a été déposée, Aimé Fotso clame à cor et à cri son innocence.

coupl pb
Image d'illustration-Droits réservés

La célèbre « affaire Mendomo » qui fait un tabac sur les réseaux sociaux depuis plusieurs jours, prend une nouvelle tournure. Après la plainte du mari cocufié, l’homme impliqué dans la sextape adultérine, crie son innocente.

Une sextape à l’origine du scandale

La vidéo à l’origine de ce scandale tristement populaire, montre Aimé Fotso, maçon de profession, ayant des rapports sexuels avec une femme mariée du nom de Mendomo. Tournée à Kombo, un village proche de Nkoteng dans la région de la Haute-Sanaga, cette sextape a rapidement été partagée sur les réseaux sociaux et est devenue virale.

Un coup monté, selon le jeune maçon

Dans une confidente faite à nos confrères de 237 On line, plaide non coupable. . Selon lui, la vidéo compromettante serait le résultat d’un complot mis en place par le couple pour le piéger. Il se considère comme une victime dans cette histoire et entend prouver son innocence devant la justice, malgré le préjudice qu’il aurait déjà subi.

Le mari cocufié, a porté plainte contre sa femme et son amant. L’enquête en cours, permettra de déterminer les rôles exacts des protagonistes dans cette affaire complexe. En attendant le verdict, Fotso et Mendomo bénéficient de la présomption d’innocence comme tout judiciable dans un Etat de droit. 

Pour approfondir :   Yaoundé : 25 ans de prison ferme pour une adolescente accusée d'avoir empoisonné son amie

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Biya Ambassadeur russe sortant

Palais de l’Unité : les adieux de l’ambassadeur de Russie

Paul Mahel Balafon

Paul Mahel : « Glencore continue de mener ses activités au Cameroun sans s’inquiéter »