Lebledparle.com, François Gaël Mbala
Le directeur de publication du journal EcoMatin, Émile Fidieck, plutôt que de soutenir son confère, préfère apporter son soutien à la jeune fille impliquée dans cette vidéo tournée dans les bureaux du journaliste Martin Camus Mimb.
Dans un tweet, Émile Fidieck indique en substance que la jeune fille en ce moment n’est pas la seule dans cette situation. Pour lui, plusieurs femmes subissent ce genre d’abus dans les bureaux des des raisons diverses
« Dans cette histoire, Martin Camus » l’Handicapé » est la bonne « Victime » et est fortement soutenu par le beau monde. Moi je préfère avoir une tendre pensée pour cette « gamine » et pour toutes celles qui vivent ces horreurs dans nos bureaux de mâles vicieux », a écrit Émile Fidieck.
Notons qu’à la suite de la publication de la vidéo en circulation dans les réseaux sociaux, le mis en cause, Martin Camus Mimb a expliqué dans un texte aux allures d’un droit de réponse que, c’est un couple qu’il a reçu dans son espace de travail qui s’est rendu coupable de cette envolée sexuelle digne d’un film érotique.
« Il est important de porter à l’attention de tous que cette jeune dame est venue à mon bureau ce matin (16 juin), avec son copain dans le but de se faire dédicacer mon livre. En sus de cette dédicace, ce couple s’est dit dispose à débattre avec moi des multiples projets pouvant permettre de rehausser l’éclat de mes activités. Une telle éventualité, nécessitant une discussion sereine, j’ai naïvement sollicité qu’ils m’attendent patiemment dans mon bureau, le temps pour moi d’achever une intervention sur les ondes. J’ai alors quitté mon bureau et suis revenu une dizaine de minutes plus tard achever ma discussion avec eux sans me douter de quoique ce soit. Ce soir, je découvre ahuri sur les réseaux sociaux qu’en mon absence, ils ont transformé mon espace de travail en lieu de débauche. Une telle démarche porteuse des germes d’une préméditation visant visiblement à attenter à ma quiétude et à mon honorabilité ne saurait rester impunie. Je me réserve le droit de les attaquer en justice », a justifié le journaliste.
