in

Petit Pays raconte sa tentative d’assassinat par les « sorciers de son village »

La légende camerounaise de la musique a dévoilé les dessous du grave accident de circulation dont il a été victime il y a quelques années.

Petit Pays

En 2019, Petit Pays a été victime d’un accident de la route qui a bien failli lui couter la vie. Selon un témoignage du « Gobelet de Dieu » sur les antennes d’Info TV vendredi dernier, une main mystique a essayé d’écourter ses jours ce jour. « Au sujet de mon accident, c’était un dragon qu’on a envoyé, un éléphant, un lion…bref l’animal avait plusieurs formes mais on voyait la moto. Il était question que je meurs sur place . C’était mystique. Ça venait du village d’où je viens. Et maintenant tous ceux qui ont mis la main sont en train de mourir parce que ce que mon grand père a mis en moi….il n’a fait à personne d’autre ce qu’il a fait sur moi. À ma naissance, on ne m’a pas lavé et tout ce temps il m’a parlé, il m’a dit des choses, il savait que le monde allait me combattre sur tous les plans et il m’a interdit d’entrer dans des choses qui vont me contrarier. Et même si les sorciers sont un million ou 100 millions, ils ne pourront pas. Raison pour laquelle je suis parvenue à traverser toutes ces étapes», a relaté le chanteur.

Pour approfondir :   Cameroun/Crise Anglophone : Un couvre-Feu instauré à Bamenda

Un « accident qui n’était pas simple »

Le Turbo, a déjà tenu un discours similaire en 2019, peu de temps après l’incident. « Je sors d’un village où on ne supporte pas tout ce qui brille. Personne ne brille dans ce village. On n’accepte pas ça. Mon village voulait me manger, mais le Dieu du ciel a refusé et vous également à travers vos prières. Je suis convalescent, mais ça va de mieux en mieux (…). L’accident que j’ai subi n’était pas un accident simple. Raison pour laquelle j’ai demandé qu’on laisse partir le Motorboy qui m’a fracassé le corps. J’ai senti à l’instant que ça ne venait pas de lui. Quand les petits de Makepe (ndlr, quartier de la ville de Douala) ont ramené l’essence pour le brûler, j’ai dit non ! J’allais porter le sang d’un jeune homme qu’on a utilisé pour me tuer (…). N’écoutez pas d’autres versions, c’est mon village qui voulait me manger comme d’habitude… », avait-il expliqué sur Facebook.

Pour approfondir :   Cameroun : Un français désigné Directeur Général de la SOSUCAM

 


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Marc Brys a décidé de s’installer au Cameroun

Vanister

Vanister Enama : « Je suis Bassa…mon vrai nom est Pagbe »