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Dénis Nkwébo : « La presse classique au Kamerun sert des intérêts privés au préjudice de la vérité »

Nkwebo Denis presse

Au lendemain de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse, le président du syndicat des journalistes du Cameroun (SNJC) tir à boulet rouge sur la presse classique au Cameroun.


Nkwebo Denis presse
Dénis Nkwébo – capture photo

L’enquêteur de presse pense que  la presse pour ne pas disparaitre doit être au service de la vérité. L’ancien rédacteur en chef adjoint au quotidien le jour affirme également aussi que la presse classique est prise en otage par les intérêts privés. « Une presse qui n’est pas au service de la vérité et l’intérêt général est condamnée à disparaître.  Tôt ou tard. La presse classique au Kamerun doit d’abord se réconcilier avec le public. Aujourd’hui, à 80%, elle sert des intérêts privés au préjudice de la vérité », déclare le syndicaliste de la presse.

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Plusieurs  journaux camerounais ne sont pas parus en kiosques le lundi 04 mai 2020 à la faveur d’une journée de la « presse morte », décrétée par le Réseau des patrons de presse du Cameroun. La nouvelle a été portée à la connaissance du public le samedi 02 mai par voie de communiqué. Le Jour, L’oeil du Sahel, Cameron Tribune, L’Anecdote et d’autres n’ont pas suivi Le messager, The Post, Info matin, l’étendard qui n’ont pas eu d’édition ce lundi…

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