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Crimes à Mimboman: Les premiers suspects auteurs des tueries aux arrêts

Les forces de sécurité qui ont lancé l’assaut final, sont en train de mettre la main sur quelques bourreaux de ces innocentes créatures de Dieu, qui ne demandaient qu’à vivre.

Selon des sources policières, ces assassins sont tous passés aux aveux complets non sans expliquer leur modus operandi et donner les noms des commanditaires de ces vastes réseaux du mal. Dans cette prise, hormis, le chauve Wafo, âgé de 31 ans, qui aurait reçu sur son crâne tondu un coup de taloche du Délégué Général à la Sûreté Nationale M. Martin Mbarga Nguele, à la Dpj, serait le spécialiste dans la strangulation et de la ponction des organes des victimes oscillant entre 15 et 25 ans. Sur cette liste lugubre, on retrouve un certain Ndeamos, 23ans, conducteur de moto. Il excelle dans le transport et la livraison de la «marchandise»; Tsetsop, 26 ans, pas un enfant de Chœur pour un sou. Derrière ses allures d’ange, se cache un diable en personne. Il ne lésine sur aucun moyen, lorsqu’il est question de tuer pour assouvir ses desseins. Ses faits d’armes funestes seraient incomptables et l’homme ne recule devant rien. Nkemeta, 22 ans, de loin, on lui donnerait le bon Dieu sans confession. Que nenni! Ce jeune garçon n’aime que les mauvais raccourcis pour se faire du beurre sur les épinards, histoire de mener grand train; la valeur humaine ne représente rien pour lui. Profession Serial killer. Et last but not least, Nguegang, 23 ans, pendant les opérations, il ne se séparerait pas de son long poignard. A l’aide de celui-ci, il a facilement la peau des victimes tentant de se défendre, Cette liste est loin d’être exhaustive, car les jours à venir promettent en rebondissements.

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Il faut dire que ce phénomène qui fait actuellement des vagues et des gorges chaudes au sein de l’opinion, aurait commencé dans la région de l’Ouest Cameroun. En effet, selon nos informations, il ne se passe pas des jours sans qu’on ne découvre aux détours d’une broussaille des Grassfields, un corps en décomposition et ce, sans organes. Ainsi, depuis un certain temps, les femmes de cette région se sont organisées. Elles se rendent dans leurs plantations en groupe, question de ne tomber dans un traquenard de ces chasseurs d’organes. Il se raconte d’ailleurs qu’une maîtresse d’école, enceinte de surcroît, se rendant à son service, avait été capturée par ces hommes qui, non seulement prélevèrent ses organes, mais aussi, ouvrirent son ventre pour extraire le foetus. Pourquoi en faire? Mystère et boule de gomme.

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