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Calixthe Beyala : « Quand les policiers m’interpellent, je m’arrête toujours »

Le mercredi 5 octobre, sur sa page Facebook, l’écrivaine  s’est prononcée sur le film de l’arrestation de Blanche Bailly.

Contrairement à ceux qui fustigent la police, elle prend leur défense et pense qu’il accepter l’interpellation des policiers. « Pilotée par un grand commis d’Etat, pour ne point dire, le dernier des Mohicans, Mbarga Nguele…la police camerounaise est l’une des plus professionnelles en Afrique ! Il me semble injuste à chaque fois que certaines soi-disant  » personnalités  » leur manquent de respect. Quand ces policiers m’interpellent, je m’arrête toujours. Obtempérer n’est pas une faiblesse, mais une force, une occasion de faire en sorte que quelque chose  marche dans ce pays où tout va de travers », écrit Calixthe Beyala.

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« Non, mais finalement, ces pauvres filles se prennent donc pour qui ? Elles se disent toutes des milliardaires et achètent les choses volées ? Les magasins n’existent plus, hein ? », ajoute-t-elle en commentaire.


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