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N’zui manto : « Ils ont commencé à payer les journalistes pour nous convaincre que Bobda est victime de machination »

Principal acteur dans publication des témoignages anonymes dans le cadre de l’affaire du prétendu prédateur sexuel Hervé Bopda, N’zui manto a déclaré avec conviction que des journalistes et autres blogueurs sont mis à contribution pour noyer l’affaire.

Nzui
Le lanceur d'alertes N'zui manto (c) Droits réservés

N’zui manto, révélations

A mesure que les jours s’égrainent, N’zui manto enchaine les révélations au sujet de l’affaire Bopda. Les déclarations faites dans son direct Facebook du 24 janvier dernier sont sans appel. Dans l’échange vidéo de quatre heures de temps il a annoncé, entre autres que le présumé violeur en série Hervé Bopda est déjà défendu par des personnes en mission. Selon lui, ces personnes laissent prospérer l’idée que les témoignages sont nourris par la jalousie contre Hervé Bopda, entre autres problème d’héritage « Ils ont commencé à payer des gens dans les réseaux sociaux, ils ont commencé à payer les journalistes pour nous convaincre que Bobda est victime de machination. », a déclaré N’zui manto sans citer un journaliste particulièrement. Mais comme l’a publié Lbledparle.com dernièrement, un blogueur camerounais est monté au créneau en affirmant qu’Hervé Bopda est innocent.

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N’zui manto a aussi soutenu l’idée que les influenceuses Coco Emilia, Nathalie Koah, Croqueuse de diamants et autres sont de mêche dans les activités du prétendu prédateur sexuel Hervé Bobda. Pour convaincre l’opinion, il s’arrête sur leur attitude devant l’affaire « Voici une occasion où toutes ces influenceuses pour réclamer justice pour les femmes, il n’y a personne. », a déclaré N’zui manto. Il a par ailleurs invité ceux des internautes dubitatifs au sujet des témoignages à se poser les bonnes questions « toutes ces personnes qui ne font que témoigner viennent d’où ? La mère que vous avez entendu pleurer c’est du cinéma ? N’écoutez pas ces personnes parce que ça aurait pu être votre fils,  votre fille, votre femme, votre mère », a tranché le lanceur d’alerte avant d’inviter les jeunes à travailler pour gagner dignement leur vie.

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