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Achat en ligne : le top 6 des pièges à éviter

Payement electronique
Image illusration (c) Droit réservé

Payement electronique

En matière d’achat, il n’est pas toujours évident de se lancer dans un domaine qui peut sembler inconnu ou peu maîtrisé. Sur internet, cette règle n’est pas exceptée.

Avec les conseils d’Asmiiya Srarji, consultante indienne en E-market Customs, www.jumia.cm, site de vente de grandes marques édicte les 6 chapitres que l’ « online buyer » doit garder à l’esprit afin d’éviter de se faire retourner.

Suivre en priorité les sites référencés

Pour s’éviter des pièges et tomber sur des sites douteux, le e-buyer, surtout inexpérimenté, doit se lancer dans un moteur de recherche afin de trouver le juste site de vente en ligne. La règle est de mise : saisir les bons mots de clés si l’on ne sait sur quel site effectuer son achat.

Ne pas accepter d’interposition

C’est une méthode assez souvent utilisée par les hackers. L’interposition est le fait de voir une fenêtre ou des onglets insistants apparaître au dessus ou en avant-plan de la page de navigation et en créer l’intrusion. « Si un autre site ou une interface apparait au dessus de votre site de vente, il est préférable de la fermer et mieux d’arrêter votre ordinateur surtout si vous payer directement en ligne », prévient Asmiiya.

Ne pas livrer des données confidentielles uniquement pour l’achat

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La plupart du temps, c’est une question de réflexe et aussi d’habitude. Certains sites imposent les numéros de carte de crédit à l’acheteur ; exception peut y être faite. Mais des données très confidentielles (adresse ; numéro de Carte d’identité ou de passeport ; paramètres ou contenu du compte bancaire ; mots de passe d’email et autres…) qui demandent à être données, c’est dangereux. Le hacking passe par là.

Ne pas se fier à l’instinct

Plusieurs internautes se laissent guider par le seul besoin de s’offrir un article qui leur tient à cœur sans se fier aux « target rules ». Asmiiya explique que : « Il y a quand même des éléments logiques qui permettent d’asseoir une décision d’achat. Il serait donc naïf de se fier à sa seule envie ou de prêter du crédit à la beauté d’un site ou à son design sans tenir compte des target rules ». Ce sont la déclaration de confidentialité et les termes de contrats « qui sont toujours négligés par les acheteurs », dit-elle.

Le service annexe approprié

C’est primordial. Si un site a une équipe allouée pour l’interface avec le client c’est-à-dire, l’interéchange avec des télé-conseillers ; un service tchat inclus ; un SMSing automatique pour alerter, alors il est fiable. La consultante assure : « A l’instar de jumia.cm s’il y a des services faisant intervenir une présence humaine effective, sachez que vous pouvez vous y fier ».

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Connaissance du site géographique

Il est superfétatoire de tenir compte des règles ci-avant si l’on ne colle pas un nom voire un visage, mieux un siège social de la structure, car plusieurs structures peuvent allouer un service d’apparat pour séduire l’acheteur. « Je pourrais prendre plusieurs cas en Afrique ou en Inde dans mon pays, mais je préfère me limiter au strict comme www.jumia.cm. Beaucoup se contentent d’acheter sans se poser la question de savoir où se situent les locaux de leur site ; c’est un tort. Connaitre ne serait-ce le bâtiment qui abrite le site, permettrait au client d’être rassuré si jamais survient un différend », conclue Asmiiya Srarji.

© Gaspard NGONO, Jumia.cm


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