in

La revue de presse camerounaise du mercredi 8 février 2023

Très chers abonnés, bonjour et bienvenus à votre revue de la presse quotidienne. Comme tous les matins, retrouvez ci-dessous, l’essentiel à retenir des informations disponibles en kiosque ce jour.

La presse

On ouvre avec Mutations sur l’assassinat de Martinez Zogo. Le journal pose cinq questions auxquelles il donne lui-même des réponses ce matin, et explore les pistes d’une éventuelle audition de certains ministres en fonction.

InfoMatin de ce matin, renseigne que les actions menées jusqu’ici sous l’impulsion du président de la République dans le cadre de l’enquête visant à mettre le grappin sur les commanditaires et assassins de Martinez Zogo sont salué par la communauté nationale et internationale.

Toujours en lien avec cette affaire, La Voix des Jeunes demande justice pour tous les jeunes assassinés dans les mêmes circonstances, voire similaires, et dont les conclusions des enquêtes n’ont jamais été rendues. Parmi ces jeunes, cite notre confrère, Bryan Formbor, le prêtre et journaliste, Jean Jacques Ola… C’est à lire en page 2.

De la page 7 à la page 10, Cameroon Tribune revient sur les listes des partis politiques en lices pour les sénatoriales 2023,  publiées par le président du Conseil électoral, Enow Abrams Egbe le 7 février 2023 au siège d’Elections Cameroon. « 32 au départ, 22 listes de candidatures ont été finalement retenues par le Conseil électoral en vue du scrutin du 12 mars 2023 », lit-on. Quant aux candidats dont les listes ont été rejetées, ils ont 48h dès ce mardi pour déposer une requête au Conseil constitutionnel comme le prévoit la loi du 19 avril 2012 portant Code électoral et complétée par la loi du 21 décembre 2012, fait savoir notre confère.

Pour approfondir :   La revue de presse camerounaise du jeudi 26 octobre 2023

EcoMatin de ce matin présente Baltasar Engonga Edjo comme étant le grand favori pour prendre la tête de la Commission de la Cemac. « Baltasar Engonga Edjo n’a pas survécu au dernier remaniement ministériel en Guinée Equatoriale. Celui qui a passé 12 ans en tant que Ministre d’Etat chargé de l’Intégration régionale, a été remplacé par Lucas Abaga Nchama, l’ex gouverneur de la BEAC. Celui qui servait encore il y’a peu d’interlocuteur privilégié d’une communication ouverte entre les présidents Paul Biya et Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, est plus que jamais pressenti pour s’asseoir au présidium de la commission de la Cemac, l’organe exécutif de la Communauté. Ce d’autant que, conformément au principe de rotation par ordre alphabétique des Etats membres à la tête des institutions communautaires sur les cendres du consensus de Fort Lamy, c’est à la Guinée Équatoriale que revient de droit le poste pour un mandat de 5 ans. Le neveu d’Obiang Nguema n’attend plus que soit convoquée la conférence des chefs d’États de la zone Cemac », apprend-on dans les colonnes du journal en kiosque ce jour. Un évènement très attendu qui donnera le ton d’un vaste chamboulement a la tête des institutions communautaires.

Pour approfondir :   Cameroun : La revue de presse du mercredi 13 janvier 2021

Le Journal l’Action du comité central du RDPC parle lui aussi des sénatoriales et nous fait savoir que le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) est en compétition dans les dix régions. Cette formation politique est par ailleurs seule en course dans les régions du Sud et du Sud-Ouest. Elle est suivie de l’Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP) qui lorgnent les sièges des sénateurs dans quatre régions: l’Adamaoua, l’Extrême-Nord, l’Est et le Nord.

C’est ici que prend fin cette revue de la presse camerounaise ce matin chers abonnés, merci d’avoir été des nôtres. À demain pour une nouvelle édition.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

stephane bahoken cmr

Séisme en Turquie : Le témoignage émouvant de Stéphane Bahoken qui avoue avoir failli mourir

Maurice kamto

Maurice Kamto : « l’Etat du cameroun est menacé par les gangs qui se battent publiquement pour le contrôle des ressources publiques»