La Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023 se déroulera en Côte d’Ivoire du 9 janvier au 6 février. Cette compétition, qui réunit les meilleures sélections africaines de football, promet d’être riche en émotions et en surprises. Parmi les 24 équipes qualifiées, certaines font figure de favorites, comme le Sénégal, l’Algérie, le Nigeria ou encore le Maroc. D’autres, en revanche, sont considérées comme des outsiders, voire des négligées, à l’image du Cameroun, tenant du titre.
En effet, le consultant algérien Nabil Djellit a déclaré sur Canal + Sport que les Lions indomptables ne sont pas favoris pour remporter la CAN ivoirienne. Dans le cadre de l’émission les Grandes Bouches sur Canal + Sport le très acerbe consultant algérien Nabil Djellit, a fait une déclaration qui ne va pas plaire à de nombreux Camerounais. Dressant sa liste de favoris au sacre final en Côte d’Ivoire, l’Algérien ne compte pas sur le pays de Samuel Eto’o. Il a déclaré à ce effet : “les indomptables du Cameroun, ils ne sont pas dans les favoris. Il y a un moment où le miracle permanent, ça a quand même des limites”.
Le Cameroun n’est pas désarmé
Cette déclaration peut paraître surprenante, voire provocatrice, quand on sait que le Cameroun a remporté la CAN en 2017, en battant en finale l’Egypte 2-1. Les Lions indomptables ont également réalisé un parcours honorable à Coupe du monde au Qatar en 2022, après avoir écarté l’Algérie lors des barrages. Eliminés au premier tours, les hommes de Rigobert Song ont néanmoins décroché 4 points en battant notamment le Brésil lors de la 3e journée. Le Cameroun dispose également d’un effectif de qualité, avec des joueurs évoluant dans les meilleurs championnats européens, comme Eric Maxim Choupo-Moting (Bayern Munich), André-Frank Zambo Anguissa (Napoli) ou encore le meilleur buteur de la dernière CAN Vincent Aboubakar (Besiktas).
Il peut toujours dire ce qu’il lui plaît,les Lions Indomptables n’en n’ont cure. Leur objectif est connu des continentaux 237: on fait toujours les bonnes choses chez la belle-famille. Confère 1984.