in

Un syndicat de footballeurs prend la défense d’Alexandre Song après son limogeage

CaptureSongbilon

Le club Suisse du FC Sion a résilié le contrat d’Alexandre Song et d’autres joueurs de son effectif pour avoir contesté des mesures de chômage technique faisant suite à l’arrêt des compétitions locales en raison du Coronavirus.

CaptureSongbilon
Alexandre Song-capture photo

Le FC Sion n’a pas eu une minute de tergiversation. Après avoir décidé comme d’autres, de mettre ses joueurs au chômage partiel (une disposition leur permettant de toucher une partie de leur salaire habituel), il a dû faire face à un refus de neuf joueurs. Il s’agit des Camerounais Alexandre Song et Christian Zock, des Ivoiriens Seydou Doumbia et Xavier Kouassi, des Sénégalais Birama Ndoye et de l’international suisse d’origine ivoirienne Johan Djourou. Conséquence : Ils ont été et simplement licenciés, a indiqué l’agence de presse suisse ATS.

Pour approfondir :   Etame Ngombe : « Si les attaquants ne marquent pas, les défenseurs vont le faire »

L’affaire n’est pas close

Le syndicat suisse des joueurs (SAFP) a très vite pris le parti des athlètes concernés en demandant aux responsables de cette équipe de football de revenir sur leur décision.

« Nous espérons que ces licenciements abusifs seront immédiatement révoqués et qu’une discussion sur les alternatives possibles s’ouvrira », a fait savoir le président du SAFP, Lucien Valloni, dans une correspondance adressée au FC Sion.

On ne peut donc pas, avant de connaitre le dénouement de ce contentieux, affirmer mordicus qu’Alexandre Song et ses collègues grévistes sont d’ores et déjà sans club.

Pour approfondir :   Hervé Emmanuel Nkom : « Si j'étais ministre des Sports, je donnerais les médailles de l'Ordre national aux jeunes Jean Bruno Tagne et Ernest Obama »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

PAUL etoudi

Lutte contre le coronavirus : Paul Biya révise la mesure portant fermeture des frontières

Covid-19 au Cameroun: les médias locaux plus alarmistes que le gouvernement au sujet de l’inflation