Alors qu’on croyait le Cameroun absent de ces travaux, lebledparle.com apprend que Paul Biya s’est fait representé à ce somment par son ministre des Finances, Louis Paul Motaze.

L’information a été confirmée mercrdi 19 mai par le journal EcoMation sur ses plateformes digitales.
{source}<blockquote class=”twitter-tweet”><p lang=”fr” dir=”ltr”>EcoMatin confirme a ses abonnés et sa communauté d'internautes que l'info sur la Présence du MINFI <a href=”https://twitter.com/PaulMotaze?ref_src=twsrc%5Etfw”>@PaulMotaze</a> au sommet de Paris est vérifiée Les attaques a l'image de <a href=”https://twitter.com/EcoMatin_CMR?ref_src=twsrc%5Etfw”>@EcoMatin_CMR</a> sont le fait de ceux qui, dans ce pays, ont encore du mal à s'accommoder a une presse crédible. <a href=”https://t.co/Mo7E0nLOFX”>pic.twitter.com/Mo7E0nLOFX</a></p>— Fidieck Emile (@fidieckemile) <a href=”https://twitter.com/fidieckemile/status/1394919648987127810?ref_src=twsrc%5Etfw”>May 19, 2021</a></blockquote> <script async src=”https://platform.twitter.com/widgets.js” charset=”utf-8″></script>{/source}
Une trentaine de dirigeants africains et européens se sont réunient mardi 18 mai à Paris avec les grandes organisations économiques internationales. Le sommet, à l’initiative de la France, se donne pour objectif d’éviter l’asphyxie financière qui menace le continent en raison de la crise sanitaire par le Covid-19.
L’idée de ce « Sommet sur le financement des économies africaines » a été engendrée à l’automne 2020, quand le Fonds monétaire international (FMI) a calculé que le continent risquait de se heurter à un déficit de financement de 290 milliards de dollars d’ici 2023.
Certes, la croissance du continent, qui a connu sa première récession en un demi-siècle l’an passé à cause de la pandémie, devrait rebondir de 3,4 % en 2021 et de 4 % en 2022. « Et un moratoire mis en place dès avril 2020 a permis de donner un peu d’air au pays africains les plus endettés. Mais cela ne suffira pas. Les dettes publiques explosent sur le continent, comme la pauvreté: en 2021, 39 millions d’Africains pourraient tomber dans l’extrême pauvreté, selon la Banque africaine de développement (BAD) », apprend-on dans les colonnes de Jeune Afrique.