S’arc-boutant sur son propre exemple, Maalhox révèle que l’hôpital de la CNPS dans lequel est mort Samy Lenwr n’est pas exempt de tout reproche. Selon lui, on peut arriver avec un mal bénin dans un hôpital camerounais et ressortir six pieds sous terre. « Tu peux entrer à l’hôpital avec un simple palu et ressortir dans un cercueil. Je serais mort ce jour-là d’un arrêt cardiaque dû à un surdosage si mon garde malade n’avait pas eu le réflexe de lui poser la question de savoir si elle c’était renseigné auprès de sa collègue avant de venir prendre service ? Elle s’est mise à bégayer. Et ce n’était pas ça le plus drôle. Vous savez ce que le docteur nous a dit quand on est allé se plaindre auprès de lui ? », questionne le rappeur.
Ce n’est pas que mon expérience personnelle
« Calmez-vous c’est juste une erreur ce n’est pas grave. (Une autre façon de me dire que les gens eurent ici tout le temps à cause de ce genre d’erreur et ce n’est pas grave). Sachez que vous allez bavarder fatigué ici vous n’allez jamais trouver quelqu’un dans le corps médicale qui vous dira la vérité alors qu’ils savent tous très bien ce qui s’est passé. Entre eux ils appellent ça « UNE ERREUR » et « CE N’EST PAS GRAVE » Et Ça ce n’est que mon expérience personnelle dans les hôpitaux je n’ose même pas imaginer ce qui peut arriver quand il s’agit d’une opération chirurgicale », poursuit Maahlox.
« Nous pouvons donc comprendre que Paa brésilienne dénonce là l’incompétence notoire de ceux-là qui sont supposés être les garants de notre santé, notre bien-être. Comme quoi ce qui est arrivé à Samy serait dû à un manque de professionnalisme du centre dans lequel il était censé se faire soigner ? Teguè interdit, l’envol sera grave », a-t-il conclu.