En 2025, il y aura une élection présidentielle au Cameroun, si elle n’est pas anticipée. Au-delà du débat sur une éventuelle candidature de l’actuel locataire d’Etoudi, le débat sur l’origine ethnique de celui qui va le remplacer en cas de retraite politique n’est pas en reste. Pour Célestin Djamen, la communauté du prochain président de l’après Biya doit être le Cameroun. « Qu’ils soient Ekang, Bami, Sawa, Bassa, Nordistes…etc maudits soient ceux qui pensent le Cameroun sous le prisme de la communauté. vive la nation », écrit l’homme politique.
Le féminisme occidental est une tromperie
Dans une autre publication sur son compte Facebook, il pense que le modèle du féminisme occidental abrutit plutôt la femme africaine. « Le féminisme abrutit la femme et compromet son mariage. En vérité le vrai pouvoir de la femme sur l’homme c’est sa soumission. L’occident vous trompe », écrit le juriste.
Un coach camerounais compétent
L’ancien militant du SDF s’est aussi prononcé sur la présence d’un camerounais à la tête de l’équipe nationale du Cameroun. Il n’a pas certainement de soucis avec la présence de Song, mais il milite pour un camerounais compétent. « Nous voulons un coach camerounais mais nous recherchons d’abord la compétence chez ce camerounais. Le copinage peut avoir des effets secondaires », écrit l’ancien militant du MRC. Il souhaite un retour de Jean Paul Akono. « Le retour de Jean Paul Akono est non seulement indispensable mais urgent !!! », pense-t-il. Jean Paul Akono connait en ce moment des soucis de santé.