Max-Williams, Lebledparle.com
C’est sur le score de 3 buts partout que Serbes et Camerounais se sont séparés ce jour pour le compte de la deuxième journée des matches de poule. Un match à rebondissement qui aura permis surtout de voir deux équipes prêtes à tout pour ne pas lâcher le train dans le groupe G où tout peut encore se jouer jusqu’à la dernière journée. Ainsi, en première mi-temps, par l’entremise d’un Casteletto bien inspiré au deuxième poteau suite à un corner rentrant de Kunde Malong, la déviation de Tchoupo fera office de passe décisive avant que les lions ne se relachent vers la fin des premières 45 min de jeu et encaissent coup sur coup, deux buts avant de rentrer aux vestiaires.
Une prestation offensive presque correcte
Sans tenir compte des trois buts de pris qui ont entaché le match des lions, c’est un résultat qui aurait pu satisfaire bon nombre d’analystes du football. un but marqué par un défenseur et deux buts d’attaquants sous l’impulsion de Vincent Aboubacar, sorti du banc de touche. La prestation du jour permet de rentrer avec un point dans la besace pour les fauve de l’Afrique centrale, mais, la partie est loin d’être gagnée car, le chemin vers le prochain tour passe par la case Brésil, le grand favori de cette coupe du monde. Dans le dernier match de cette poule, la Nati de Shaqiri et ses coéquipiers vont se disputer la tête du groupe face aux auriverdés de Neymar. Un match où les sud américains viennent en favori, mais les surprises dans cette édition de la coupe du monde sont de taille après le faux pas de l’Argentine à l’entrée et celui de l’Allemagne.
Le match en dehors du stade
La grosse surprise aura été d’abord la titularisation de David Epassy en lieu et place d’André Onana qui jusqu’ici avait une place cimentée en béton. La presse nationale et internationale, comme l’a relayé Lebledparle.com, a parlé d’un cas d’indiscipline et donc, le portier de l’Inter de Milan est écarté du groupe, pour le moment. Aucune clarification n’a été donnée pour ce qui est de cette mise à l’écart. Déjà, les mauvaises langues évoquent une tension entre la cellule de communication et le joueur, d’autres par contre, pensent que tout serait parti d’une incompréhension entre le joueur et le coach. Affaire à suivre…
