Christophe Bobiokono membre de la commission nationale des droits de l’homme se prononce sur la sortie du vice-président James Mouangue Kobila au sujet des marches du 22 septembre prochain.
Le mercredi 16 septembre 2020, James Mouangue Kobila rendait public un texte dans lequel il s’attaquait aux marches pacifiques programmées le 22 septembre par le MRC.
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24 heures après, la réaction du membre de la Commission Nationale des Droits de l’homme ne s’est pas faite attendre. Christophe Bobiokono affirme ce matin que : « le communiqué publié hier au nom de la CNDLH sur les marches projetées par le MRC est le fait d’un seul signataire ». Un désaveu infligé à Mouangue Kobila.
Il qualifie la sortie de son vice-président d’escroquerie intellectuelle et qu’il se trouve dans l’obligation de faire une mise au point dessus en tant que membre de cette institution. « Il ne s’agit pas d’une cacophonie mais d’une mise au point devant une escroquerie intellectuelle. La CNDHL, dont je suis membre du bureau, est une institution collégiale, qui a d’ailleurs des prises de position connues, notamment sur l’organisation des élections dans notre pays. Un individu ne peut pas l’ignorer et essayer de faire endosser à l’institution ses combats personnels et ses positionnements politiques », poursuit le DP du journal du monde judiciaire « Kalara ».