E M., Lebledparle.com
En effet, quelques heures après la musicienne nigériane Ayra Starr, c’est au tour de Richard Bona, la célèbre star internationale d’origine camerounaise, de dénoncer le phénomène persistant qui semble loin de trouver une résolution. Bona met en cause les autorités camerounaises pour leur silence face à une situation révélatrice de la dépravation des mœurs.
Dans son plaidoyer, Richard Bona accuse ouvertement le gouvernement de complicité dans l’affaire Hervé Bopda. Selon lui, les autorités camerounaises sont au courant des événements depuis un certain temps et seraient complices des présumées exactions de Bopda. Le musicien, reconnu pour ses critiques envers la gouvernance au Cameroun, souligne ainsi l’implication ou la négligence récurrente du gouvernement face aux scandales qui émergent sur la toile.
Dans le dossier brûlant d’Hervé Bopda circulant largement sur Internet, le chanteur et bassiste dénonce une complicité flagrante des gouvernants. Sur Facebook, il exprime son point de vue sans équivoque, déclarant qu’une « société Bopdatisée » avec ses hautes autorités serait complice en exposant des mineures à la débauche. Ces déclarations tranchantes créent une onde de choc significative sur la toile. La question persistante demeure, avec les personnalités publiques soulignant l’urgence d’une action face à cette affaire troublante. En outre, David Eto’o aurait également mis en circulation un enregistrement vocal incriminant le présumé prédateur sexuel.
