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Samuel Eto’o en colère contre Jeune Afrique

    

Présenté par le magazine panafricain comme un « bad boy », le goléador camerounais a tenu à faire une mise au point.

Jeune Afrique, dans son édition du 22 septembre 2012, ne va pas du dos de la cuillère pour critiquer Samuel Eto’o. Dans un dossier  titré « Foot, fric et frasques » et publié sur son site internet, l’attaquant d’Anzhi Makachkala est présenté comme un « bad boy  devenu l’ami des présidents, qui veut paraître sérieux et s’achète une nouvelle image de  businessman millionnaire avec un goût immodéré pour la fête et la frime ». Le magazine panafricain poursuit en soulignant que c’est « un enfant gâté du continent  dont la vie tranche avec celle d’autres sportifs de haut niveau… ».Jeune Afrique fait par ailleurs allusion au goût poussé de Samuel Eto’o pour les virées nocturnes et l’alcool.

Colère

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Comme on peut l’imaginer, ce portrait n’a pas plu à l’international camerounais. Et Samuel Eto’o n’a pas tardé à le faire savoir. Dans un droit de réponse publié dans l’édition de lundi de Jeune Afrique, le meilleur buteur des Lions Indomptables dément fermement ces informations. « De nombreuses informations me concernant sont avancées sans prudence ni distanciation », regrette Samuel Eto’o.

L’ancien joueur du Fc Barcelone et de l’Inter de Milan note que les allusions à son train de vie relèvent de sa vie privée.  Selon lui, son parcours sportif ne peut-être que « le résultat de beaucoup de travail, de détermination et d’une hygiène de vie stricte ». Samuel Eto’o conclut en faisant remarquer que cet article porte « gravement atteinte » à sa réputation, son image, mais surtout à la fondation qui porte son nom.

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Cette affaire intervient à moins d’une semaine de la rencontre cruciale contre le Cap-Vert à Yaoundé. Une rencontre à l’issue de laquelle les Lions sauront s’ils prendront part à la Can 2013 ou s’ils manqueront pour la deuxième fois consécutive la grande messe du football continentale.

Jean Marie Nkoussa


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