Glaçantes révélations sur Hervé Bopda, un apôtre du mal ?

Hervé Bopda

Les agissements prétendument obscurs et criminels  du Sieur Hervé Bopda sont secoués sur la toile par le lanceur d’alerte N’zui manto. Il s’appuie notamment sur une soixantaine de témoignages des victimes et des  proches de victimes de ce fameux Hervé Bopda. Tout part vers l’an 2018. On apprend que plusieurs jeunes filles de 15 ans auraient été entrainées par de nombreux intermédiaires dans des réseaux tissés par cet homme dénommé Hervé Bopda. Entre concours de miss et offres d’opportunités de réussite, la vie de plusieurs jeunes filles auraient été brisée car elles se sont retrouvées selon les témoignages dans la prostitution quasi forcée. Les photos des jeunes filles se retrouvaient entre les mains de certaines personnalités qui proposaient ensuite des sommes d’argent pour avoir des rapports souvent non protégés. Les femmes tentées de s’opposer à cette proposition se voyaient menacées avec rage par Hervé Bopda.  Il est d’ailleurs accusé d’avoir eu des rapports avec quasiment toutes les victimes qui étaient principalement des mineures. Des victimes avouent avoir été contaminées au VIH Sida suite à cette douloureuse expérience.

Dans la série des témoignages dévoilés par N’zui manto, apprend d’ailleurs que certains jeunes ont été sexuellement abusés par Hervé Bopda et ses compères. Pour mener avec succès son sa croisade de  pédophilie, d’homosexualité, et de trafic d’influence, ce dernier a visiblement bénéficié du soutien de plusieurs noms bien connus de l’espace public. Dans la liste des personnes permettaient à Hervé Bopda  de recruter des jeunes filles de 15 ans, N’zui manto parle de Xavier Abena, de la défunte influenceuse madame Cooper entre autres. Lebledparle.com a appris que ce dernier est le fils de l’homme d’affaires Emmanuel Bopda, promoteur d’Afrique construction.  Alerté, le gouverneur de la région du Littoral aurait demandé à toutes les victimes de porter plainte à la légion de gendarmerie du Littoral. Cependant l’article 135 du Code de procédure pénale dispose que le Procureur de la République peut s’auto-saisir sur la base d’une simple dénonciation.