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Homosexualité : Une avocate crée la controverse.


AvocateMe Alice Kom, avocate au Barreau du Cameroun suscite depuis quelques années la polémique autour de cette question. Selon une certaine opinion cette technicienne du droit est entrain de ’’violer’’ les lois du Cameroun en prenant sur elle de défendre le droit des Homosexuels.



Dans son commentaire, le Journaliste Gaby NOE, du journal Libération PLUS, est revenu sur cette question. Selon le Journaliste, l’avocate et son association est entrain de violer  l’article 347 de notre code pénal, qui réprime et puni la pratique rétrograde et contre nature de l’homosexualité.

 Morceaux Choisis :

 L’Etat de droit est décidément autant mis-en mal que diversement interprété au Cameroun, selon le côté où l’on se trouve. Le pire, c’est quand une technicienne du Droit crée incidemment un cafouillage aberrant sur fond de mauvaise foi manifeste, destinée à semer la confusion dans les esprits des citoyens.

 (…) Cet état des faits a fatalement amené les citoyens à se convaincre de leur inexistence, transformant ainsi le pays en une véritable jungle. De là l’intrusion suivie des tentatives d’institutionnalisation des fléaux pourtant réprimés par notre code pénal, l’on serait allé dans tous les sens, comme si point besoin n’était de respecter aucune règle quelconque.

Respect de la loi L’article 347 du Code pénal de la République du Cameroun réprime et puni la pratique rétrograde et contre nature affectueusement appelée dérive homosexuelle. Or, l’inapplication des dispositions législatives en vigueur dans notre pays aura condamné celui-ci à subir les assauts incessants de ceux des pays déterminés à assouvir leurs instincts de destruction des valeurs traditionnelles de nos entités sociologiques.

Telle occurrence justifie amplement la présence des ressortissants des pays occidentaux, précurseurs des perversions sexuelles que sont l’homosexualité, les viols, la pédophilie, la zoophilie et la nécrophilie sous nos cieux, au mépris de la majorité fragile que constitue notre jeunesse et partant, l’avenir même du Cameroun.

Lorsque la tolérance se mue en laisser-aller, il n’est nullement étonnant de voir la multiplication autant que le développement à une vitesse exponentielle des tares sociales polluantes, dont notre pays est victime actuellement. Il ne saurait pourtant être répréhensible d’interpeller les vulgarisateurs des pratiques interdites par nos lois, à la manière où entend l’exercer Alice Kom, reconnaissant ostensiblement son appartenance aux milieux qui en font la promotion. L’impunité dont jouit cette femme n’aura d’égale que le degré de dépravation morale qu’elle s’ingénue à propager parmi nos jeunes populations. En cela, sa mise aux arrêts, loin de constituer en soi un viol des droits humains, contribuerait plutôt au respect de ceux-ci, en considération du fait qu’on ne saurait s’accommoder raisonnablement d’un individu faisant l’apologie des meurtres. Or, dans son cas, ses provocantes gesticulations ne procéderaient que de morbide fantasme visant à pousser au viol de l’article 347 de notre code pénal. D’autre part, l’on a du mal à s’expliquer logiquement la présence dans toutes nos activités sociales, des individus prétendument appartenir au corps diplomatique, lesquels, au mépris de nos lois se livrent à des agressions permanentes envers notre société, sous le prétexte des droits humains.

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Quand un étranger s’évertue à fouler au pied les lois de sa terre d’accueil, il devrait normalement se voir expulsé de ce pays car, on verrait mal l’Etat français s’accommodant des exciseuses sur son territoire. Serait-ce donc une question de provocation contre le régime du président Paul Biya que ces pays souhaitent voir quitter le pouvoir du fait de ses lieux très poussés avec la Chine ? Quoi qu’il en soit, l’on aurait du mal à ne point répondre à cette question par l’affirmative. Sinon, il serait difficile de s’expliquer par d’autres procédés le fait que tels individus, tout simplement parce qu’ils ont la peau blanche et appartiennent aux Etats plus hauts cités, agissent librement sous nos cieux, au vue et au su des autorités locales, sans inquiétudes aucune(…)

Viol de l’article 347 du code de procédure pénale: Le sous-préfet de Yaoundé 5e dissuade les homosexuels

Des manigances visant la violation de l’article 347 de notre code pénal qui réprime l’infecte déliquescence morale qu’est la dérive homosexuelle ont été récemment interrompues par le Sous-préfet de Yaoundé Ve, à l’hôtel Mansel. C’était le 27 mars 2012.

De prétendus membres d’une curieuse association dite de protection des adolescents contre le Sida ont tenté de tromper la vigilance de monsieur Martin Loko Motassi. Ceux-ci lui auront présenté une demande d’autorisation d’un séminaire sur les droits humains. L’administration Camerounaise qui n’entend point faire obstruction à l’exercice des droits des personnes dans le cadre de ce qui est autorisé par les lois en vigueur dans la République, aura alors donné son accord pour la tenue dudit séminaire.

Cependant, dans un élan de malhonnêteté caractéristique des individus malveillants et déterminés à porter des revers à l’intégrité morale de notre jeunesse, ceux-ci auront très rapidement et de façon scélérate, transformé l’objet initial de leur ordre du jour en manifestation dans un lieu public en faveur de la perversion homosexuelle. Les banderoles collées sur les murs ainsi que la qualité des personnes présentes sur les lieux auront trahi les nocives intentions des organisateurs.

Détournement de l’objet de la manifestation

C’est ainsi qu’un citoyen respectueux, des valeurs de nos traditions et lois de la République aura informé sur les réalités qui se dérouleraient sur les lieux. Accompagné de quelques éléments des forces de l’ordre, Monsieur Martin Locko Motassi se sera déporté sur les lieux, pour trouver Madame Alice Kom entourée de quelques contrevenants à nos dispositions légales, visiblement des pédés, qui n’avaient nullement l’intention de rentrer dans leurs domiciles sans se livrer à des par¬touzes, sabordant et souillant l’établissement hôtelier.

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Interrogée sur ce comportement, cette femme qui humilie le barreau du Cameroun ne s’interdisant nullement de violer les lois quelle est pourtant supposée défendre déclara qu’il fallait lui laisser la possibilité de poursuivre son œuvre de destruction morale.

Toutefois, le Sous-préfet de Yaoundé Ve la reprendra en lui rappelant que: «Vous avez demandé une autorisation d’une rencontre portant sur le respect des personnes vivant avec le VIH/Sida, j’ai répondu à votre demande. Mais vos banderoles précisent qu’il s’agit d’un séminaire sur les droits des minorités sexuelles. Nous n’acceptons pas cela ici…»

Outré par les mesquineries de celle dont le mérite est incontestablement celui d’importer un fléau sous nos cieux, un observateur lancera à son adresse: «Mme Kom, vous qui connaissez le droit, sachez qu’au Cameroun, l’homosexualité est interdite. Ce que vous faites là, Dieu vous voit.» La supercherie avait pour but d’organiser une scandaleuse scène qui devait durer trois jours d’affilés, avec une autorisation frauduleusement obtenue sous le n° 050/Rdmpj/jo/05/sp

C’est le lieu de regretter l’attitude apathique de notre gouvernement qui se sent comme enchaîné vis-à-vis des actes de provocation perpétrés par les ressortissants de certains pays occidentaux. Car l’on ne saurait comprendre et tolérer le fait que des Camerounais aillent s’investir dans la pratique de la polygamie en France, en Allemagne ou aux Etats-Unis d’Amérique.

Or le mépris affiché par les ressortissants de ces pays vis-à-vis de nos lois et coutumes frise carrément l’insulte la plus infâme envers tout un peuple, ce qui relève logiquement de l’inacceptable. Tels individus qui devraient normalement se voir interpellés voire expulsés de notre pays continuent quand même de parader dans nos rues, détruisant outrageusement ce que nous avons de plus cher, nos valeurs morales, protectrices de notre progéniture. Il serait convenable d’y voir un peu plus clair.

 

 

                                                             


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