En répondant à la question du journaliste présentateur de l’émission Passion Foot&Investment, l’ancien défenseur des Lions Indomptables a éclaboussé au passage Rigobert Song, un autre ancien patron de la défense des Lions Indomptables. « Song ne savait pas jouer au football. C’est le faux courage qu’il montrait qui impressionnait les gens », a-t-il répondu sans détour. Une réponse qui va choquer plus d’un camerounais car au Cameroun, Rigobert Song est classé dans le rang des défenseurs emblématiques.
Lors de cette émission web, Doumbè Léa a également donné son avis sur l’effectif actuelle des Lions Indomptables. « Quand vous regardez le milieu de terrain, il y a qui là-bas ? Les meilleurs d’aujourd’hui ont le niveau des remplaçants de notre époque, les Kamga, Enanga Zozo, etc », fait savoir l’ancien capitaine des Lions Indomptables surnommé dans les années 1980 le « Maréchal ».
Au départ, je ne suis pas libéro : l’anecdote de François Doumbè
Par la même occasion, François Doumbè Léa a fait un petit détour sur son passage et son impact de l’équipe du Cameroun. Il ressort que le natif de Bonamoudourou était un joueur polyvalent. « Au départ, je ne suis pas libéro. Je jouais plutôt au milieu de terrain en 6, parfois en 10. C’était au milieu des années 70, à l’occasion du match amical retour entre les Lions Indomptables et la grande formation française de Saint-Etienne, au stade Ahmadou Ahidjo à Yaoundé. Au match aller joué à Douala, j’avais évolué à mon poste habituel de latéral droit, avec Thomas Nkono dans les buts. Quelques jours avant la rencontre retour, notre entraîneur de l’époque, le Yougoslave Vladimir Béara, a des problèmes avec quelques joueurs clés de l’équipe. Il décide alors de me faire jouer libéro avec, dans les buts, Joseph Antoine Bell. Tout jeune à l’époque, aux côtés des anciens, j’ai peur d’une telle responsabilité dans l’axe. Ce qui signifiait que je prenais la place de Nlend Paul qui tenait très bien son poste à l’époque. Sur le champ, j’avais refusé. Le coach était allé voir le colonel Edouard Etonde Ekoto, l’un des dirigeants du football camerounais à l’époque. Ils sont venus me voir à deux. Le colonel m’avait dit ceci : » tu joues libéro, c’est un ordre. Ça ne se discute pas. C’est comme ça que je deviens libéro. Contre mon gré », a-t-il raconté.
DOUMBE LÉA, QUAND UN BASSA’A SE SACRIFIE POUR CE MERDIER QU’ON APPELLE CAMEROUN, IL APPARAÎT TOUJOURS ,MAIS COMME TOUJOURS CETTE RACE DE PARESSEUX TONNEAU VIDE , JE NOMME DOUALA POUR VENIR CHERCHER SON EXISTENCE À CÔTÉ DU BASSA’A, UN SINISTRE ALEXANDRE MANGA BELL QUI ENVOYÉ PAR LES FRANÇAIS À L’ONU POUR ESSAYER DE SALIR LE DIEU » UM NYOBE » , ET POURTANT CETTE RACE DE GUENILLES DOUALA QUE LES BASSA’A ONT ACCUEILLI CACAS AUX FESSES CHEZ-EUX , ET SI LE WOURI EST SALE AUJOURD’HUI C’EST À CAUSE DE LEUR APPRENDRE À SE NETTOYER LES FESSES
Rigobert Song. 513 matchs en tant que professionnel, 19 buts (Liverpool, Metz, westham, salernitana,Lens, galatassaray…) 112 matchs équipe nationale du cameroun. Et vous dites qu’il ne savait pas jouer au football ?