Le Roi Sokoudjou, Chef de Bamendjou appelle à la fin de la guerre au Cameroun, après les nouvelles attaques séparatistes du week-end dernier qui ont couté la vie à plusieurs de nos soldats du Bataillon d’intervention rapide (BIR). « Que chacun voit la chose là comme si c’est sur lui », écrit en soulignant que la solution militaire n’est pas appropriée.
Lisons la sortie du Roi ce 21 septembre 2021.
Si tu n’es pas que quelqu’un que tu étais mort et resté en haut, tu ne peux pas entendre ce qui sort sur les enfants de nos mamans de l’autre côté et aller dedans te coucher jusqu’à fermer l’œil!!
Oui tu dis ta part que tu as seulement compris, je dis ma part que j’ai vu. La quantité que vous voyez la vos parents avaient dormir sans dormir pour que ça soit un comme ça. Si quelqu’un vous dit qu’il ya quelque chose qu’on arrange avec les gourdins ou la force, sait qu’il vous trompe. La quantité qu’on perd dépasse toujours ce qu’on pense qu’on a gagné. Nous on avait lancés la quantité qu’on avait lancés, j’ai vu comment c’était fini, je connais la quantité de personnes qui étaient parti voici aujourd’hui on n’a jamais attrapés le nœud sur ça jusqu’à voici aujourd’hui. Verser à terre avant de ramasser comme quelques-uns pensent la, de ma façon de voir ce n’est pas la bonne route. Que ceux qui ont un petit quelque chose dans la tête entrent dedans pour arrêter le peuple qui est couché a la bouche du trou. La quantité de blessures qu’on avait provoqué l’autre fois et qu’on n’a pas encore tout soignés, je ne peux pas accepter qu’en détruisant le peu qui reste encore je sois dedans. En éteignant le village de quelqu’un, vous n’allez pas arrêter ma main pour faire. N’importe qui simplifie le vampire comme ça parce-que la nuit n’est pas encore tombée. Chaque fois que tu entends le haut du fusil éclaté sache que tu es encore en haut. N’importe qui bavarde jusqu’à sa voix part en haut comme ça parce-que ça ne l’a pas encore secoué. Si ça prend déjà l’enfant de ta mère c’est là que tu vas bien comprendre comment ça cogne avant d’arriver dedans faire mal. Quand nous allons prochainement nous asseoir pour dire que nous arrangeons, on dira quoi de ces enfants du village qui sont tombés ? On fera quoi pour que le cou de leurs familles soit propre? Il ne faut pas que les problèmes soient déjà beaucoup sur nos têtes et nous cherchons encore d’autre pour augmenter sur ça. Quand le village brûle, on apporte seulement sa part d’eau qu’elle soit propre ou sale. Nous devons d’abord éteindre le feu avant de rentrer dans la maison porter nos problèmes déposer par terre. Tous ceux qui tombent là ce sont les enfants du village et un enfant ne dépasse pas l’autre.
A ceux-là qui détiennent les clés du village, votre main n’est pas propre sur ce qui sort de l’autre côté-là. Ça avait commencé qu’on a partagé la nourriture et oublié certains enfants de la maison et leurs cous faisaient mal. J’ai dit le jour-là qu’on cherche le côté pour vite éteindre le feu la, ma voix était petite. Voilà qu’on a simplifié le criquet, il menace éteindre l’œil de la poule. La liane saute l’année ça devient le bambou. Le cou du chef ne doit pas faire mal jusqu’à il jette ses enfants dans les dents des lions même s’ils se sont trompés de chemin. Donc si le fou s’est ta part tu vas le jeter? Que le père du village lance la voix pour appeler tous ses enfants pour couper le torrent sur la chose la. Que le chef pousse un peu ses notables la qui sont à côté et qui font semblant d’attiser le feu avec de l’eau dans la bouche, il les donne un peu derrière et il donne sa parole a ses enfants. Les enfants peuvent aussi avoir faim de la parole de leur père. C’est le chef qui doit montrer et couper la route pour son peuple. Dépasser quelqu’un c’est pas toujours ouvrir le sang dans sa bouche, c’est savoir aussi a un moment dire vient t’asseoir ici, on l’affaibli avec la parole pour retirer la marchette dans sa main. Quand on cherche le côté pour donner le sommeil au peuple, on ne se fatigue pas. Jusqu’à en partant avec pour nous on dira qu’on était venu en haut faire quoi? Nous partirons et laisserons le peuple et le village de quelqu’un que par terre. Nous faisons comme ça qu’on reste dire que quand le village se brûlait nous étions ou? On avait dit pour nous que quoi?
A ceux qui se cachent derrière le feu qui brûle, pensent que l’huile s’est versé sur les légumes et que c’est le court chemin pour vite arriver là où ils partaient, je leur dit qu’ils dorment comme ça le rêve avec les pieds pliés. Sachez que la poudre à canon que vous vous baladez à côté du feu avec la, quand ça va attraper le feu, vous même vous n’allez pas rire. La corde ne doit pas lancer la folie dans vos têtes jusqu’à vous faites comme si le pistache de vos têtes est perdu. En faisant n’importe quoi il faut mettre la vérité dedans et savoir que si tu passes sur le sang des gens avant d’être quelqu’un ça n’ira jamais sur aucun chemin. Le vampire n’a pas d’amis. Le jour qu’il va lancer l’œil et il ne va pas voir celui qu’il va couper ses poumons, il va tracer ses ongles dans ton dos. Et comme tu es au-dessus du marché pour monter et descendre avec le porteur des calebasses, il ne faut pas que demain quand on sera en train de chercher celui qui faisait disparaître les calebasses dans le village, que tu sois le premier à couper la tortue car en comptant d’être bon compte aussi que ça peut être mauvais. On n’aime pas quelqu’un avec les mauvaises choses. Lançons un œil de l’autre rive et nous voyons le feu que les enfants de nos mamans sont dedans et demandons nos corps que qu’est ce qu’on fera pour qu’ils dorment le sommeil !!!
A ceux-là qui mangent même le profit sur les cadavres des gens, comme vous êtes seulement derrière pour ouvrir les cigales pour que nos frères ne dorment jamais le sommeil parce que vous vendez jusqu’à manger le bénéfice la, sachez qu’on ne joue pas au djambo avec le sang de l’être humain. Même si tu gagnes n’importe combien tu laisseras encore au marché avant de rentrer. Sachez que le sang de ces innocents sifflera un jour dans vos têtes. Vous prenez jusqu’à nourrir vos enfants comme ça que vous mangez quoi? C’est comme ça la viande de vos corps que vous mangez. Les fusils sortent d’où entre les mains des enfants qui hier au village ne connaissaient que la fronde? Jusqu’à ils sont au village ils ramassent les innocents pour laver la bouche des fusils!!
A vous-même mes enfants, dieu ne s’est pas seulement trompés pour faire qu’on vous accouche là où on vous a accouchés, nous sommes les enfants d’une même personne et rien ne peut nous séparer. La sagesse de vos parents et ancêtres n’était pas petit le jour là pour qu’ils mettent comme ils avaient mis. C’est vrai que l’autre jour en partageant la nourriture on vous a oublié. Ne pas laver les assiettes s’était déjà envoyer les nouvelles que votre cou fait mal et qu’au prochain repas on commence le partage par vous. C’est vrai que si tu n’as pas la malédiction sur ta tête, tu ne peux pas être assis et ta mère prépare la nourriture elle partage et te refuse. Seulement porter la marmite et casser, retirer la tête de ta mère et de ton père, vous êtes parti jusqu’à la distance est longue. Vous ne pouvez pas parler quelque chose jusqu’à on dit qu’on va comprendre vous passez encore un trait d’aliéné sur ça. Même si c’est n’importe quoi, vous déposez les gourdins par terre, vous revenez a la maison nous cherchons le côté pour arranger. On ne bavarde pas avec le fusil en main. C’est notre village à nous. Vous ne devez pas accepter qu’on arrête vos mains pour taper vos joues. Le caca de la maison sent que dedans. C’est vrai que les choses sont à terre beaucoup mais nous ne devons pas éteindre le village. Ça se gâte la quantité ci parce qu’on ne s’est pas assis pour bavarder. Même si c’est n’importe comment et nous nous asseyons jusqu’à mettre la vérité sur ça, nous ne pouvons pas sortir dedans sans trouver le côté.
Que chacun arrête son corps. Que chacun voit la chose la comme si c’est sur lui. Que chacun voit la quantité de sang qu’on est en train de verser et il demande son corps si nous sommes encore sur la route. Et que chacun qui est derrière et ne voit que son profit qui va sortir du feu qui brûle le village sache que si tu veux empêcher qu’on ne dorme arrange toi aussi à ne pas fermer l’œil. Mettons la vérité dans ce que nous faisons comme tout pour nous est devenu que le piège la, que chacun accepte sa part de fautes à son niveau, Que chacun voit d’abord le village avant de voir sa tête. Si le village est bon chacun sera aussi bon.
Je pleure ma part comme ça que le village de quelqu’un qu’on nous a laissé de garder. On dira que quoi? Que les dieux de nos ancêtres mettent la main sur les cœurs, qu’ils tournent le cou de tout un chacun pour faire le cou de sel et qu’ils comprennent que le village restera
Fo’o sokoudjou Mpoda ce 21 septembre 2021