Après la sanction de la FIFA contre Samuel Eto’o, le président de la Fecafoot, on en sait peu plus sur ce qui s’est passé au Stade le 12 septembre dernier lors du match des Lionnes U20 du coach Hassan Balla contre les U20 brésiliennes. Le match comptait pour les huitièmes de finale du mondial féminin Colombie 2024. En effet, selon les informations de Equinoxe tv, « Aucun membre de la délégation camerounaise, présent en Colombie pour le Mondial des moins de 20 ans, ne se rappelle avoir vu le président de la Fecafoot s’en prendre frontalement aux arbitres ».
Au contraire, il aurait même apaisé les Lionnes indomptables, en colère contre l’arbitre, selon les membres de la délégation interrogés par Équinoxe Télévision et Radio, apprend-on.
« Cependant, des responsables de la délégation camerounaise font savoir que Samuel Eto’o fils avait exprimé depuis les tribunes, son désaccord face à l’arbitrage jugé défavorable de l’italienne Caputi Ferrieri directrice du match des 8e de finale perdu 1-3 par le Cameroun contre Brésil », relève notre source.
La sanction infligée à Samuel Eto’o par la FIFA serait donc consécutive à ses gestes de désapprobation en tribune. La commission de discipline de la FIFA précise que le président de la Fecafoot a enfreint deux articles clés du code disciplinaire, précisément l’article 13 et l’article 14.
Dans les détails, « L’article 13, sanctionne les comportements offensants et les violations des principes du fair-play. Par exemple, quiconque commet l’infraction aux règles de base de la décence, Insulte de quelque manière que ce soit, notamment par des gestes, signes ou propos offensants ou affiche un comportement portant atteinte à l’image du football ou de la FIFA », explique notre confrère.
Pour sa part, l’article 14, qui réprime les comportements incorrects lors des matchs, détermine la durée de la suspension en fonction de la gravite de l’infraction commise. Selon la Fifa, ces deux articles visent à maintenir l’intégrité et la sportivité dans le football mondial.
En attendant de voir s’il y a possibilité de faire appel, Samuel Eto’o ne sera pas présent au match Cameroun-Kenya le 11 octobre à Douala.
Le Cameroun ne perd rien par l’absence de ce monsieur Eto’o Samuel, au contraire. Heureusement que la FIFA n’est pas une institution camerounaise. Son Président et elle-même seraient actuellement traînés dans la boue et pire par les fidèles du gourou.
Si cette suspension peut sauver le football camerounais et même le Cameroun, car ce monsieur au comportement de drogué pourrait à la longue apporter des troubles dans la société .
On dirait qu’il est en mission déstabilisation pour le compte d’une puissance étrangère. Suivez mon regard.
Tu dis bien qu’il a exprimé son mécontentement depuis la tribune. Puisque tu convoqués l’article de la FIFA qui n’indique pas le lieu où cela peut se faire, tu ne vois pas que tu donnes raison à la FIFA ? Que cet enfant de la rue comprenne qu’il occupe un poste de responsabilité et ne doit plus se comporter comme dans la rue. Nous le supportons comme ça au Cameroun, mais qu’il arrête là.