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Nicolas Batum: «si j’ai l’opportunité de jouer avec le Cameroun, je la saisirai!»

Batum petit

Après une nuit passée à l’Ecole de police au quartier Tsinga, les fêtards ont été relachés après enregistrement des identités.

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Source: www.oregonlive.com

Plus de 200 personnes ont été interpellées vendredi 31 juillet dernier aux environs de 22h dans plusieurs snack-bars  au quartier Essos à Yaoundé, réputé pour ses coins chauds. Le journal Le Jour rapporte dans son édition du mardi 04 Août 2015 que les policiers ont fait une descente dans plusieurs bars dans le but d’interpeller tous les individus qui s’y trouvaient.

Environ 200 personnes ont été raflées. Les hommes et femmes interpellés pour la circonstance ont été conduits à l’école de Police à Tsinga, apprend-on. Un jeune homme qui faisait partie du lot a confié au reporter de Le Jour qu’il était en compagnie de mes amis lorsque les éléments de la police sont entrés dans le snack et ils nous ont tous embarqués. « Ils ne voulaient pas savoir si on avait la carte nationale d’identité ou pas. Nous sommes ici depuis 3h du matin et on attend toujours d’être relâchés », dit-il.

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Le lendemain matin, samedi 1er Août, une foule de personnes qui attendaient toujours d’être enregistrées puis libérées était encore amassée dans l’enceinte de l’Ecole de police. Un policier a confié au journal que «notre pays est menacé, alors nous mettons tous les dispositifs en marche pour mieux protéger nos citoyens. A travers cette rafle, nous enregistrons tout le monde et détectons ceux qui ont des casiers judiciaires afin de déterminer toute menace ».

Un autre a ajouté : « Il serait convenable que les Camerounais restent chez eux et surtout qu’ils fassent très attention dans les rues. Ils doivent toujours marcher avec leur Carte nationale d’identité, car nous pouvons faire des descentes sur le terrain à tout moment ».

Lundi 27 juillet dernier, le préfet du Mfoundi, Jean Claude Tsila a pris d’importantes mesures visant à sécuriser les populations en ce temps de guerre contre la secte islamique Boko Haram. Elles concernent les débits de boisson, des cabarets, des vendeurs à la sauvette, les zones dites sensibles, à forte concentration humaine et bâtiments publics.

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