Françoise Puene ne sait pas que faire la politique et les affaires. Mamy Nyanga sait aussi être une femme et prendre bien soin des hommes. Des atouts qui, selon elle, rendent inutiles, l’usage des des substances aphrodisiaques en couple.
Face à Esther Maël mardi sur le plateau de l’émission « Paroles de Femmes » à Equinoxe tv, la femme politique a mis de côté son écharpe de parlementaire pour se mettre « dans la peau d’une autre ». Cette autre, étant bien la femme mariée qui doit prendre soin de son homme.
« Je ne suis pas mariée, mais chaque fois que j’ai été avec un homme, si on se sépare, il ne m’oublie pas. Oui, au point où les gens vont croire que c’est l’aphrodisiaque, c’est les médicaments, c’est le ngrimba. Ce n’est pas le Ngrimba. Si oui, le ngrimba je l’ai sur mes mains, c’est ça dans ma bouche… », a-t-elle déclamé avec beaucoup de désir.
Inutile donc de se demander si Mamy Nyanga fait usage des aphrodisiaques. « Je ne peux pas les utiliser parce que, les femmes qui pensent qu’il faut utiliser ce genre de produits n’ont rien compris. Parce que si vous rentrer chez vous le soir, vous trouvez votre femme bien parfumée, nettoyée, le string même à 60 ans… Ce sont se les femmes elles-mêmes qui à un moment donné se créent cette barrière, moi je suis déjà ménopausée, je vais déjà regarder mes petits-fils, je vais aller détruire les mariages de mes enfants en allant vivre chez eux pendant cinq, six mois… C’est elles-mêmes qui créent ces barrières. Les femmes très souvent disent que « le vagin est entrain de ses sécher ». C’est elles-mêmes qui créent cette sècheresse. Parce qu’elles ne sont plus amoureuses, elles ne savent plus aimer, elles ne croient même plus en elles en fait ».