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L’après-bac : Entre rêves et appréhensions, les jeunes camerounais cherchent leur voie

Après l’obtention de leur baccalauréat ils sont nombreux à fréquenter désormais les universités publiques et privées. Sur ce nouveau chemin ils trainent plusieurs appréhensions et comptent réaliser leurs rêves.

Étudiants de l'université de Yaoundé 2 Soa
Étudiants de l'université de Yaoundé 2 Soa - DR

Après le Bac, le passage à l’université est souvent source de stress pour de nombreux jeunes au Cameroun. Entre la gestion d’un nouvel environnement de travail, les programmes et session de cours, rien ne sera plus comme avant.

Selon les investigations menées par Lebledparle.com, la première difficulté évoquée est celle de la distance de l’université avec leur lieu de résidence. Chose qui inclut des frais de transport et un nouvel emploi de temps. En outre, ces derniers peinent à faire le choix de filière ceci conformément à leur objectif de vie.

Des jeunes bacheliers face aux préjugés

Un étudiant admis en Première année a d’ailleurs confié à notre rédaction qu’il aime bien les mathématiques mais est inquiet quant’aux débouchés y afférents.

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Heureusement, les universités ont mis en place des mesures d’accompagnement de ces étudiants qui sont pour la plupart, apeurés à l’idée de débuter les cours dans un nouvel écosystèmes. Les conseillers d’orientation joueront donc un grand rôle quant’à l’orientation de ces bleus.

Cette année, ils devront faire face à la vie en Faculté. Tout commence par un bon choix de filière. De plus, il leur faut beaucoup de patience et de courage pour s’adapter à l’univers de l’université.

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