M.G, Lebledparle.com
En ouverture de cette édition, on parle des relations entre le Cameroun et la République centrafricaine. À l’invitation du Président Paul Biya, le président centrafricain, par ailleurs président en exercice de la Cemac, Faustin Archange Touadera a effectué une visite d’amitié et de travail samedi dernier au Cameroun. Au programme, un long tête-à-tête au Palais de l’unité. Les détails croustillants de cette entrevue sont à lire dans les colonnes de Cameroon Tribune en kiosque ce jour.
On parle à présent du « vain mai » du préfet du département du Wouri dans le Littoral. Dans le cadre des préparatifs de la fête nationale qui se célèbre le 20 mai, le Préfet a demandé aux différentes Mairies de son territoire de compétence, un montant cumulé de 19 millions de FCFA pour le Gouverneur, plus 15 millions de FCFA pour lui-même et 1 million 500 mille FCFA pour chacun des six Sous-préfets que compte la Région du Littoral. Le quotidien Mutations qui en parle dans ses colonnes ce matin fait savoir que le gouverneur a instruit l’annulation du déblocage de ces fonds. Le décryptage est à lire en page 7.
L’opération mode avion intéresse Le Messager dans son édition de ce jour. Notre confrère revient sur les leçons d’une réunion de crise entre le ministre des Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng et les opérateurs sectoriels en réponse au mouvement de boycott lancé par des consommateurs.
Alors que les retombés de cette rencontre de haut niveau sont attendus, Défis Actuels en profite pour proposer une enquête exclusive sur les coûts de la communication électronique au Cameroun. Dans son dossier, le journal propose des réactions des cadres des entreprises épinglées, et celle du ministre des Postes et Télécommunications.
Le quotidien L’Économie revient sur la note de conjoncture sur la dette publique du Cameroun, publiée par la Caisse autonome d’amortissement (CAA) et nous renseigne que ladite dette se situe aujourd’hui à 12 203 milliards de FCFA. Soit une progression de 5,2% en glissement annuel.
Le quotidien EcoNews fait le point sur la fête du travail qui s’est célébré hier. Le journal note qu’au Cameroun, c’est les travailleurs qui cotisent pour fêter. Sur plus de 10000 PME et grandes entreprises, à peine 2000 ont organisé des réceptions pour les employeurs, écrit le journal. Dans les ministères et entreprises publiques, lit-on, la fête était « presque morose ».
Franck Biya dément être actionnaire dans l’entreprise Savannah Energy. Approché par nos confrères d’Essingan au sujet des informations tendant à faire de lui la main noire cachée derrière l’opération d’acquisition d’actifs de l’ex-Esso, par la société britannique Savannah Energy, le fils ainé du chef de l’Etat, rejette formellement son implication. C’est à lire en page 3.
La Voix des Jeunes traite de la même actualité et note qu’au moment où la presse avait identifié Franck Emmanuel Biya, fils du président Paul Biya, comme celui qui, dans l’ombre, tire les ficelles pour le compte de Savannah Energy, Savannah Energy, ses dirigeants, ses employés et ses conseils n’ont jamais eu de contact avec ce dernier relativement à la transaction avec la SNH. Cette personnalité camerounaise n’a jamais été impliquée dans ses interactions avec les autorités tchadiennes et camerounaises.
Très chers abonnés, c’est sur cette information que nous parvenons au terme de cette revue de presse ce matin. Merci d’avoir été des nôtres. À demain pour une nouvelle édition de la revue de la presse.
