Le top 11 des erreurs de Eto’o à la Fecafoot
1- Nomination de l’entraîneur:
Si après la CAN 2022 tout le monde était unanime sur le fait qu’il fallait remplacer l’entraîneur, le monde entier a été surpris par la nomination de Rigobert Song, qui a eu beaucoup de mal à entraîner les sélections nationales de catégories inférieures. L’entêtement de Samuel Eto’o pour nommer un de son proches manipulable a été le début di commencement de son échec à la Fecafoot.
Le Coq Sportif
L’extrême popularité de Samuel Etoo lors de son arrivée à la fecafoot l’a rendu ivre de pouvoir et sourd à la raison et aux conseils. Pourquoi ne pouvait-il pas laisser le Coq Sportif aller jusqu’à la fin de son contrat et ne pas le renouveler… simplement?
Le faux sponsor “One All Sport”
Jusqu’à ce que Samuel Eto’o présentera les retombées du contrat avec One All Sport, pour les observateurs, il ne s’agira que d’un contrat fictif. Qui n’aurai rien apporté à la Fecafoot. Il avait parlé de contrat du siècle. On a envie de lui demander: c’est où alors?
L’humiliation des institutions
Depuis son arrivée, Samuel Etoo a écarté la tutelle. Le ministre des sports ayant décidé de ne pas aller à l’affrontement, pour éviter que le gouvernement et l’état ne soient éclaboussés par la déraison du nouveau dirigeant et de ses fans, a laissé faire. En sachant par expérience que le bateau allait couler.
L’affaire Onana
Huit mois après la coupe du Monde du Qatar, Eto’o Fils et les siens n’ont pas encore expliqué au monde entier pourquoi le meilleur joueur camerounais a été écarté en pleine compétition pour une humeur courante dans tout vestiaire. Onana aurait pu terminer la coupe du monde avant d’être traduit devant le conseil de discipline. Surtout que les informations qui circulent font état de ce que, contrairement à l’indiscipline brandie, il s’agit d’une affaire extra sportive liée à une “influenceuse” virée par le président qui a préféré le joueur.
La marginalisation des “Anglophones”
Depuis son arrivée à la fecafoot, Eto’o n’a nommé aucun anglophone à un poste de plein pouvoir. Reproduisant les causes de la crise anglophone, il a cru utile de mettre Augustine Simo comme deuxième adjoint de Rigobert Song. Au NoSo où les Lions restent encore un facteur d’unité, cela a été mal perçu.
Son omniprésence qui étouffe
Cette semaine le journal L’Equile et La Gazzetta dello Sport, les deux plus grand quotidiens sportifs d’Europe ont de ce Eto’o comme un pouvoiriste paranoïaque qui étouffe les joueurs et les entraîneurs. Il veut rester la star et étouffe toutes les stars de l’équipe.
Son extrême arrogance.
Rien de nouveau: Eto’o a un ego surdimensionné qui, cumulé à sa popularité l’a rendu incontrôlable. Ivre et irrespectueux l. Il ne respecte rien d’autre que le football. Et pense que tout sur la terre n’est que le football. Il je respecte aucune autre profession et parle à tout le monde avec mépris. Il oublie que même pour gérer le football plieurs professions sont indispensables.
Le truquage des matches
Les écoutes téléphoniques ont confirmé que, à la Fecafoot version Etoo, c’est le règne des “fraters” (bro). Inutile d’avoir un club si on n’est pas de son cercle. Il vous fait disparaître en manipulant toutes les instances.
La privatisation de la Fecafoot et de l’équipe nationale
Pour diriger la Fecafoot, il faut savoir que c’est une institution politique. Le football est un instrument politique au Cameroun qui a toujours servi à consolider l’unité nationale. Depuis son arrivée, le football a divisé les camerounais comme jamais auparavant. Et l’équipe nationale fonctionne comme le club privé et personnel du président des années 80. Quand ce sont des individus qui finançaient tout et décidaient de tout.
Un entourage de flagorneurs
Pour diriger la Fecafoot, il faut se mettre au-dessus de la mêlée. Sortir de la logique des loges er des sectes pour utiliser toutes les compétences humaines disponibles. Avec Eto’o, ce sont ses “Bro” d’abord. Comment fait-il comme dirigeant pour ne pas savoir que la Fecafoot châtie de nombreux enjeux. Il travaille et d’autre analysent et critiquent son travail. Il ne m’a jamais manifesté aucun respect pour de a journalistes qui le critiquent. Oubliant qu’un petit journaliste peut le faire tomber par une enquête…
Mon commentaire: il avait dit qu’il faisait l’histoire et que nous autres devions juste la commenter. Moi personnellement je suis journaliste. Et j’ai suivi les lions indomptables dans le monde entier pendant dix ans. Eto’o sait que je ne suis ni corruptible ni intimidable. Chacun fait son travail. Il gère le football et moi je suis là pour dire ce qui ne va pas dans sa gestion et dénoncer ses erreurs. C’est cela le journalisme. Être le chien de garde de la démocratie. Quand je parle de Samuel Eto’o, je fais mon travail. Rien de personnel donc. Je respecte son travail. Il doit respecter le mien. Les fans n’ont qu’à nous excuser pour ce crime de lèse-majestés.
Jean Claude Mbede Fouda,
Journaliste en retrait