in

Inédit : Christiane Voufo fait ce que jamais une femme noire n’avait fait dans la recherche

La camerounaise Christiane Voufo est devenue lla toute première femme noire à obtenir un Ph.D de The Helen Wills Neuroscience Institute à UC Berkeley.

FB IMG 16847575666386268 1

Christiane Vouffo, l’exploit

La Camerounaise Christiane Voufo vient de franchir ainsi un cap historique dans le monde de la recherche aux Etats-Unis d’Amérique. C’est ce que Lebledparle.com apprend de Sylvie Nguena, sa marraine au sein de cette institution universitaire de renommée mondiale. La cérémonie s’est tenue le 19 mai 2023, faisant du Dr Christiane Voufo la première femme noire à obtenir un doctorat en neurosciences dans cette prestigieuse institution, classée première université publique des Etats Unis d’Amérique.

Eu égard au fait que la Camerounaise Christiane Voufo est devenue la première femme noire à obtenir un doctorat de l’Institut de neurosciences Helen Wills de l’Université de Californie à Berkeley (Californie), à  cette occasion historique, elle a été la seule étudiante à s’exprimer devant une pléthore de professeurs, d’étudiants, de familles et d’amis venus du monde entier.Elle a étudié les ondes rétiniennes embryonnaires dans la rétine prénatale de la souris. Spécialiste de l’imagerie calcique, elle possède des compétences en matière d’analyse de données de masse à l’aide de MATLAB, ImageJ et Excel.

Pour approfondir :   Le train tue une femme dans le Nyong-et-Kelle région du Centre

Christiane travaille actuellement avec l’équipe EdTech de la Banque mondiale en tant que consultante, où ses recherches se concentrent sur l’utilisation efficace de la technologie pour faire progresser l’éducation STEM pour les filles en Afrique. Elle fait parler d’elle de manière historiques comme beaucoup de grandes dames du Cameroun


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bryan

La fin de saison stratosphérique de Bryan Mbeumo en Angleterre

Yamb Nathalie

Nathalie Yamb : « Il n’y a aucun intérêt à célébrer une fête nationale dans un pays sous tutelle monétaire, divisé par le tribalisme »