Cabral Libii a pris position au sujet des vidéos sexuelles qui écument les réseaux sociaux depuis quelques jours et accablent les hommes de médias Martin Camus Mimb et Paul Chouta.
Le député du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn) se veut objectif. Dans les affaires de sextapes qui impliquent le promoteur de RSI Martin Camus et le célèbre blogueur Paul Chouta, il s’est refusé de choisir un camp. « J’ai découvert avec force désolation, des images déshonorantes de deux jeunes femmes camerounaises circulant avec une très grande viralité sur les réseaux sociaux.Je condamne cette atteinte à la dignité humaine et surtout le bafouement et la banalisation de la nudité en général et celle de la femme en particulier », a écrit le candidat à la présidentielle de 2018 ce 21 juin sur Facebook. Dans la suite de sa sortie, l’élu du peuple milite pour une meilleure éducation des jeunes filles au sein des familles et appelle la juste à faire son travail afin que les responsabilités soient établies.
« J’appelle les parents à renforcer l’éducation de leurs enfants, j’encourage les initiatives d’autonomisation des jeunes filles et surtout je recommande que les responsabilités exactes soient établies et les coupables punis conformément à la loi », a-t-il conclu.
La volonté de Cabral a en partie été exaucée par le collectif Universal Lawyers and Human Rights Defense sollicité pour prendre en charge le dossier de la jeune Malicka. « Entre la thèse du complot rapidement excipée et la vérité, un fil d’or se tend. Ce dossier est immensément intéressant et nous terminons il y a juste 20 minutes, une formidable réunion avec la jeune Malicka. En avant », a annoncé ce regroupement d’hommes de loi sur les réseaux sociaux. Une sortie synonyme d’espoir pour ceux qui comme Cabral, clament : « justice » à cor et à cri.