Le combat entre le politologue Owona Nguini et le journaliste Boris Bertolt est loin d’être terminé. Plus les jours passent, plus on assiste à des échauffourées entre les deux hommes.
Après l’avoir qualifié de « faux intellectuel » ce matin, le journaliste revient cette fois-ci, non pour une rixe, mais pour rappeler à l’enseignant de science politique, les germes positifs qu’il a eu à semer en lui : « Aujourd’hui je suis épanoui et je te suis reconnaissant. Tu as affiné ma contestation idéologique pour le bien de ce pays qui nous a formés et à qui nous devons beaucoup de choses » écrit-il.
Lebledparle.com vous invite à lire cette autre sortie de Boris Bertolt
La force des archives : il y’a deux ans soit le 21 décembre 2016, j’interpellais déjà Owona Nguini à faire attention au « glissement » qu’il opérait… ! Lisons.
« Mathias Éric Owona Nguini reprend ton bâton de pèlerin pour le changement
Prof tu dois terminer ce que tu as commencé. Tu dois continuer à essaimer les germes du changement. Tu dois amener les masses vers la libération. Tu m’as à la fois inspiré et appuyé. Aujourd’hui je suis épanoui et je te suis reconnaissant. Tu as affiné ma contestation idéologique pour le bien de ce pays qui nous a formés et à qui nous devons beaucoup de choses.
Je sais que tu n’es pas resté insensible aux attaques sur ta participation au colloque. J’imagine ce que tu as ressenti. Mais tu dois pouvoir transcender cela. Regarde tous ces propos humiliants, insultants qui me sont adressés au quotidien. Sans compter les menaces. Mais je sais qu’ils font des erreurs et on avance.
Prof tu es aujourd’hui maître de conférences. Maintenant tu peux pardon et faire ce dont tu as accompli depuis des années : la transformation des masses.
Plus que jamais le pays n’a besoin de ton discours. Lève-toi et achève ce que tu as commencé…
Ton absence de discours créée un vide actuellement. L’histoire t’appelle »
Conclusions finales : voilà donc ce que j’écrivais à ce monsieur il y’a deux. Dans ce pays où la servitude est institutionnalisée il aurait voulu qu’à cause d’une lettre de recommandation comme celles beaucoup d’autres enseignants je lui soit éternellement soumis. Ohhhh ces roitelets nègres.
Cher Owona je te laisse poursuivre l’œuvre macabre de goeble que tu mènes si bien sur la télévision génocidaire mille collines vision4. Merci encore pour les lettres de recommandation « prof ». Mais souviens-toi de ce proverbe français : « le temps tue l’erreur et fait vivre la vérité ».
Boris Bertolt