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Cameroun : La revue de presse du lundi 21 mars 2022

Le 21 mars 2022

Très chers abonnés c’est un plaisir de vous retrouver ici ce lundi pour vous livrer votre revue de presse quotidienne. L’actualité de ce jour est dominée par des questions économiques et finances, mais s’il faut ranger à côté de cela, la grève des enseignants et d’autres faits sociaux.

Le 21 mars 2022
Les Unes en kiosque (c) Droits réservés

Ouvrons notre chemise avec Cameroon Tribune avec cette concertation tripartie (gouvernement-secteur privé-société civile) présidée par le premier ministre, Joseph Dion Ngute relativement aux qui risques de pénurie et d’inflation au Cameroun. Selon notre confrère, vendredi dernier, il a été convenu d’ouvrir des discussions séparées avec des opérateurs des différents secteurs en vue d’une meilleure prise en compte des problème résultants de la crise sanitaire due au Covid-19 et des effets néfastes de la guerre en Europe de l’Est.

Au port autonome de Douala, une nouvelle zone industrialo-portuaire à Essenguè. C’est l’information majeure qui fait la grande Une du journal Défis Actuels dans sa parution de ce matin. Dans son dossier relatif à ce projet, l’hebdomadaire indique que ce cet espace va contribuer au developpement des industries pourvoyeuses de richesses, d’emplois et de trafic portuaire.

EcoNews de Pascal Dibamou annonce que le ministre des Finances, Louis Paul Motaze a reporté au 25 mars, la date butoir de déclaration et de paiement des versements spontanés. Initialement prévue pour le 15 mars 2022, la date butoir de déclaration de paiement des versements spontanés ainsi que les soldes annuels au titre de l’exercice 2021, a été repoussée au 25 mars. Le ministre des Finances dans un communiqué rendu public le 14 mars, informe néanmoins que les « formats de déclaration statistiques et fiscale, et le guide de souscription y afférent sont téléchargeables sur le site de la Direction générale des impôts », peut-on lire dans le journal.

Pour approfondir :   Covid-19 : Le PNUD et la France apportent une aide d'urgence au Cameroun dans le cadre de la lutte contre la Covid-19 sur financement du C2D France-Cameroun

EcoMatin dans sa publication du jour, explique pourquoi les titres de la BDEAC ne sont pas attractifs. Après une levée de fonds réussie, « le premier emprunt de la Bdeac peine à circuler sur le marché secondaire de la bourse. En mars 2021, juste après leur admission à la cote, 937 391 titres de la valeur Bdeac 5,45% net 2020-2027 étaient proposés à la vente. 12 mois après, pas un seul n’a été transigé », note notre confrère. Pourtant, poursuit-il, les jours passent, les séances de cotation se suivent, mais les investisseurs ne semblent pas particulièrement enthousiastes à l’idée de faire des placements sur ces actifs. Sur le marché, elles détiennent le record de longévité des ordres non exécutés. À cela, il faudrait désormais ajouter les 50 000 titres du second emprunt Bdeac qui eux aussi font face au problème de liquidité. Pourquoi un tel désintérêt des investisseurs sur ces titres rémunérés pourtant au taux de 5,45% ? La Bdeac n’est-elle plus crédible aux yeux des investisseurs ? retrouvez dans les kiosques, décryptage d’EcoMatin.

Pour approfondir :   Cameroun : La revue de presse du vendredi 29 octobre 2021

Telegram News de Dimitri Amba est aussi en kiosque et parle de la guerre de succession au sommet de l’Etat. Selon le journal, le Secrétaire général à la présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh est « mangé dans toutes les sauces insipides par des groupuscules qui voient en lui, un barrage. Il est donc flingué par des flibustiers et mercenaires coagulés », écrit le journal avant d’ajouter : « Pourtant, Paul Biya a confiance a son proche collaborateur ».   

Chers abonnés, c’est sur cette information que s’achève notre revue de presse de ce matin. Merci de nous avoir suivi. Prenons rendez-vous demain pour une nouvelle édition de la revue de presse.


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