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Cameroun : La revue de presse de ce mardi 19 mai 2020

le 19 mai 2020
Bonjour chers abonnés ! C’est un plaisir de vous retrouver à nouveau ce matin pour vous servir l’actualité telle que parue dans les kiosques au Cameroun. Comme tous les matins, nous allons commencer par le quotidien à capitaux public qui célèbre la fête de l’unité sans festivités.

le 19 mai 2020
Quelque Unes en kiosque ce matin (c) Droits réservés

Alors que la célébration publique de la fête de l’unité nationale du pays a été annulée par rapport à la pandémie du coronavirus, Cameroon Tribune de ce mardi nous fait savoir que le 20 mai prochain devra permettre aux Camerounais de marquer un temps d’arrêt pour réfléchir sur « ce qui les rassemble ».

Mutations nous parle des mutations survenues dans la phase de contamination au coronavirus depuis l’assouplissement des mesures barrières au Cameroun. Le journal de Georges Alain Boyomo révèle que le nombre de cas contaminé augmente depuis la levée du confinement et pointe du doigt sur ce qu’il appelle « la phase de contamination communautaire à tous les dangers ».

Poursuivons dans l’assouplissement des mesures barrières cette fois avec le quotidien l’Économie. Dans sa parution de ce mardi parvenu à la rédaction de lebledparle.com, l’on apprend que malgré la levée partielle du confinement par le chef de l’État, le secteur hôtelier n’est pas toujours satisfait. Le quotidien de Thierry Ekoutti informe que les acteurs de ce secteur d’activités se sont réuni le 12 mai dernier à Douala. Au terme de leur assise, indique notre confrère, « ils sollicitent un nouvel appui des pouvoirs publics pour espérer un rebondissement de la filière ».

« Mvondo Ayolo, un serviteur qui dérange », c’est ce qu’on peut lire à la grande Une du journal Le Temps. Avec son intitulé, le tabloïd de François Mbesse Akono du 19 mai 2020 indique que le directeur du cabinet civil de la présidence de la République est victime de sa loyauté « absolue » au chef de l’État et par conséquent, fait l’objet d’attaques groupées et coteries diverses.

Pour approfondir :   Dieudonné Essomba : « J’avais mis en garde Amougou Belinga, qu’on va fabriquer des complots pour l’éliminer »

La Primeur de l’Info Plus dénonce ce matin, ces « faux diplômes qui s’accrochent et dictent la loi » dans les sociétés d’État au Cameroun. « Depuis trois décennies, l’administration camerounaise fait face au phénomène de faux diplômes qui entrave la réussite dans nos structures étatiques. La gangrène est perceptible et l’État doit rougir au plus haut niveau pour mettre fin à ce système fatal qui ne nous avantagera jamais un jour. D’où l’urgence d’une commission de validation et de l’authentification des diplômes avant tout embauche », peut-on lire dans le journal paru en kiosque ce matin.

Pile ou Face présente quelques directeurs généraux des sociétés et entreprises d’État qui « résistent à la retraite ». Notre confrère s’arrête sur les cas spécifiques du Directeur général du Trésor et de la coopération financière et monétaire, Moh Sylvester Tagongoh et du Directeur général des Douanes Fongod Edwin Nuvaga qui ont franchi depuis un an, l’âge d’aller en retraite et qui malgré tout, restent en fonction.  

Merci de nous avoir renouvelé votre confiance. À demain pour une autre revue de presse.

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