in

Clash entre Ivoiriens et Camerounais : Charles Blé Goudé joue la carte de pacificateur

blero

Au moment où les échanges virulents entre internautes ivoiriens et camerounais continuent de faire les choux gras de la presse, Charles Blé Goudé, appelle à la réconciliation.

blero
 Charles Blé Goudé(c) Droits réservés

« Les dents et la langue, appelées à cohabiter toute une vie, se querellent », ce sont ces propos du romancier Seidou Badian que l’ancien ministre ivoirien de la Jeunesse a paraphrasés pour s’adresser à ses frères ivoiriens et camerounais qui se sont déchirés notamment sur la toile, dans ce contexte pourtant marqué par la Can, la plus grande fête culturelle et sportive du continent.

Lebledparle.com vous livre ci-après, l’intégralité du message de Charles Blé Goudé publié sur son mur le 28 janvier 2022.

Pour approfondir :   Christian Penda Ekoka rend hommage au Cardinal Christian Tumi

 

La langue et les dents : balle à terre chers frères Ivoiriens et Camerounais

Le football est un sport où se mêlent toutes les passions et autres émotions. Qui ne se souvient pas de nos tournois inter villages.

Depuis quelques jours, la langue et les dents se sont un peu frottées. Mais vu que ça commence à prendre d’autres proportions, pardonnez les frères, mettons tous la balle à terre. Nous sommes tous africains et le football est notre jeu favori. Par ces mots, je vous demande tous pardon. S’il vous plaît, désarmons les cœurs et faisons preuve de fraternité. La Côte d’Ivoire et le Cameroun ont encore plus à partager qu’à diviser. Nous n’avons pas fini de bâtir ensemble.

NB : Il y a des batailles d’où personne ne sort vainqueur. Sur le terrain de batille en est victime. Amour et paix à la Côte d’Ivoire et au Cameroun Merci pour votre compréhension.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Tom Sainfiet, Coach gambien : « Ce n’est pas le moment de rentrer à la maison »

blezior

Mamadou Mota : « Quand on suit une bande appelée influenceurs d’Etat, on finit par perdre les repères »