Le choc était imprévisible. Selon les riverains, l’accusé aurait été motivé par la découverte d’un message d’un autre homme sur le téléphone de la victime.
La veille, il s’était rendu au comptoir de Marina le jeudi 22 août 2024, et l’a poignardée avec le couteau qu’elle utilisait pour son commerce. La dame est décédée sur le champ, avant d’arriver à l’hôpital. L’homme a pris la fuite, mais s’est ensuite livré à la gendarmerie. Il devra répondre de ses actes.
Ce cas de féminicide n’est pas isolé au Cameroun. Récemment, Laure Elimbi, institutrice à Melong, a été battue à mort par son mari, qui l’accusait d’infidélité.
De tels actes de violence contre les femmes deviennent de plus en plus fréquents. Pour certains, il est temps de questionner les droits des femmes dans les ménages. Le ministère de la promotion de la femme et de la famille est appelé à agir pour mettre fin à ce phénomène.