LMZ, Lebledparle.com
Doctorant en Economie et Inspecteur des prix, poids et mesures, Fabrice Assoumou s’est donné pour cheval de bataille depuis plusieurs années, la formation des jeunes camerounais qui par milliers, frappent chaque année aux portes de l’ENAM.
« Bréviaire d’Economie pour Candidats à l’ENAM » : un manuel devenu incontournable dans le circuit de la préparation au Cameroun. Son auteur, diplômé de la prestigieuse Ecole nationale d’administration et de magistrature et par ailleurs chercheur en économie, garantit à son bouquin, une constante mise à jour. Ainsi, l’édition 2021 qui a récemment été mise sur le marché n’a pas manqué de prendre en compte des thématiques d’actualité à l’instar de la pandémie du Covid-19 et son impact sur l’Economie mondiale pour le grand bonheur des postulants qui font d’ores et déjà le pied de grue afin de l’acquérir.
Pourquoi faut-il absolument avoir son « Bréviaire d’Economie » ?
L’ENAM est un concours ouvert aux étudiants de toutes les filières. La plupart, y découvre pour la première fois l’économie et n’ont donc pas suffisamment de matière pour l’affronter puisqu’étant étudiants en droit, en science politique, en sociologie, en histoire, en mathématiques et tutti quanti. A tous ceux-là, ce livre essaye non pas de leur fournir une masse plus ou moins importante de connaissances, mais de leur permettre de se familiariser avec la discipline qu’est l’économie et surtout, de leur apprendre à traiter des sujets semblables à ceux qui leur seront proposés le jour du concours. Loin de toute vision mercantiliste, le livre volontariste et optimiste de Monsieur Fabrice Assoumou Zambo s’inscrit dans ce que lui-même appelle, « le combat pour la promotion de la réussite à l’ENAM ».
Tout savoir à propos du Bréviare
Le « Bréviaire d’Économie pour candidats à l’ENAM » est subdivisé en quatre grandes parties, chacune traitant d’un pan très important et dont l’enjeu n’est pas moindre. La première partie revisite la méthodologie de la dissertation économique appropriée à l’ENAM car à la vérité́, la méthode est primordiale et chaque discipline connait une méthode particulière. La deuxième partie, quant à elle, passe en revue quelques principaux problèmes de toute économie tels : la croissance, la pauvreté́, le développement, le sous-développement, etc. Dans la troisième partie, l’auteur présente quelques thématiques d’actualité́ économique qui défrayent la chronique au Cameroun depuis que ce pays est sur une dynamique émergente. La quatrième partie, in fine, se propose d’esquisser les corrections d’une kyrielle de sujets d’économie au rang desquels les anciens sujets proposés aux candidats de l’ENAM.
L’auteur émet également le souhait que son « livre tienne la promesse des fleurs dans un contexte où les camerounais versent dans la paresse et le pessimisme ». Il estime que la réussite à l’ENAM ne relève pas de l’utopie selon l’idée entretenue par certains adeptes du moindre effort. Elle dépend exclusivement « du travail acharné et méthodique du candidat ».
Cela passe notamment par l’acquisition du « Bréviaire d’Economie », un document stratégique que chaque camerounais désireux de valider son ticket pour l’ENAM devrait obtenir à tout prix et à tous les prix.
