in ,

Espoir et éducation dans les camps de réfugiés de Gado et Nyambaka

Derrière leurs visages assombris se cache une lueur d’espoir. Pour ces enfants qui ont quitté leur pays contre leur gré, l’éducation représente un rayon de soleil, comme nous l’avons appris mercredi dernier de nos confrères de CRTV News.

Screenshot 20240915 1625022

Dans le camp de Gado Badjéré, situé à l’Est, et dans la localité de Nyambaka, dans la région de l’Adamaoua, déplacés internes et réfugiés partagent les mêmes bancs d’apprentissage.

À Nyambaka, la sérénité est revenue dans les rangs depuis que la menace d’un serpent BOA en liberté a été écartée.

Les enseignants font preuve d’une grande créativité pour transformer le tableau noir d’une vie en exil en une expérience plus positive.

Une lueur d’espoir se dessinent pour ces enfants vulnérables en quête de connaissance.

Pour approfondir :   Sécurité des Camerounais en Tunisie : Maurice Kamto appelle au dialogue entre les gouvernements

Les efforts des enseignants ne font que renforcer la conscience qu’on ces éléves. Ils écoutent, s’abreuvent a la source de leurs maîtres. Tous espèrent un jour devenir des grandes personnalités, dompter et faire changer le monde au travers de leur vision.  C’est du moins l’atmosphère qui règne dans ces deux camps de refugiés.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Guibaï Gatama et Ketcha Courtès : Illustration By OLBIF/Lebledparle.com

Guibai Gatama à Ketcha Courtès : « Cessez de vous moquer des populations du Grand-Nord »

Sans titre 68

Ligue 1 : Christopher Wooh et Rennes renversent Montpellier