Dans le camp de Gado Badjéré, situé à l’Est, et dans la localité de Nyambaka, dans la région de l’Adamaoua, déplacés internes et réfugiés partagent les mêmes bancs d’apprentissage.
À Nyambaka, la sérénité est revenue dans les rangs depuis que la menace d’un serpent BOA en liberté a été écartée.
Les enseignants font preuve d’une grande créativité pour transformer le tableau noir d’une vie en exil en une expérience plus positive.
Une lueur d’espoir se dessinent pour ces enfants vulnérables en quête de connaissance.
Les efforts des enseignants ne font que renforcer la conscience qu’on ces éléves. Ils écoutent, s’abreuvent a la source de leurs maîtres. Tous espèrent un jour devenir des grandes personnalités, dompter et faire changer le monde au travers de leur vision. C’est du moins l’atmosphère qui règne dans ces deux camps de refugiés.