La militante engagée, convaincue et convaincante du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) s’est adressée au camerounais et aux militants et sympathisants du MRC sur sa page Facebook officielle ce mardi 19 février 2019.
La candidate du MRC pour la Mairie de Douala 1er parle d’une interpellation et séquestration arbitraire du Président du MRC et les leaders de la coalition gagnante. Mais elle souligne que le parti reste debout. « Le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun est durement affecté par l’interpellation et la séquestration arbitraire de notre Président National, des Leaders de la Coalition Gagnante et de près de deux cents de ses militants et sympathisants », a-t-elle écrit.
La célèbre Avocate donne sa caution à l’initiative lancée par le militant Wilfried Ekanga, le lancement d’une campagne massive d’enrôlement massif au MRC dans deux deux principales villes du Cameroun le 23 février prochain. « Vous, nombreux, enthousiastes, volontaires, déterminés à venir grossir les rangs du Mouvement. A samedi, pour ceux qui souffrent pour nous, pour nous mêmes, pour cette Terre que nous aimons tant », déclare Me Ndoki.
Ci-dessous, l’intégralité du Message de Me Ndoki.
Enfants de ma Terre, vous l’aurez compris, le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun est durement affecté par l’interpellation et la séquestration arbitraire de notre Président National, des Leaders de la Coalition Gagnante et de près de deux cents de ses militants et sympathisants. Pourtant, nous sommes debout, nous sommes en ordre de bataille et nous poursuivons résolument notre route. L’initiative portée par notre précieux Claude Wilfried Ekanga est la preuve que nous sommes plus forts que les intimidations, les injustices, la malveillance et le dénigrement. Elle prouve surtout que notre force c’est VOUS. Vous, nombreux, enthousiastes, volontaires, déterminés à venir grossir les rangs du Mouvement. A samedi, pour ceux qui souffrent pour nous, pour nous mêmes, pour cette Terre que nous aimons tant. Kamerun, Ekombo’a Mwaye, Wa ndutu e titi nò.