Un enfant âgé d’environs de 03 ans et sa maman ont été tués et décapités le 12 mai 2020 par des hommes armés dans cette localité située dans la région du Nord-Ouest.
Après le massacre civil du 15 février dernier, Ngarbuh vit une autre tragédie comme le relève nos confrères de La Nouvelle Expression. Un enfant dont la dépouille fait actuellement le tour des réseaux sociaux, était porté au dos par sa maman au moment des faits. Comme sa maman, il a d’abord été molesté. Si l’on s’en tient aux précisions du journal de Sévérin Tchounkeu, la famille est de la communauté Bororo. Ce peuple réputé pour être constitué de grands éleveurs de bœufs est l’une des principales victimes du conflit qui sévit en zones anglophones depuis bientôt 4 ans.