JBM, Lebledparle.com
Depuis les premières heures de ce 2 février 2025, un article faisant état de la réception de Marc Brys et de son assistant au Maroc lors du tirage au sort de la CAN 2025 anime les débats sur les réseaux sociaux. Dans cet article scruté par Lebledparle Sport, il ressort que Joachim Mununga, l’assistant du sélectionneur des Lions Indomptables, Marc Brys, a eu un incident au Maroc le 27 janvier.
Selon cet article, Marc Brys aurait sollicité la Fédération camerounaise de football pour permettre à son assistant de l’accompagner à Rabat. Une demande que la Fecafoot aurait rejetée en lui précisant que pour ce genre d’événement, la CAF n’accepte généralement que deux représentants par pays : l’entraîneur principal et le Team Manager. Malgré l’avertissement de la Fecafoot, le coach des Lions Indomptables aurait insisté pour se présenter au Maroc avec son collaborateur.
Conséquence : deux incidents se seraient produits au Maroc. Premièrement, Joachim Mununga aurait été bloqué à l’entrée du « Théâtre Mohammed V », lieu du tirage au sort et n’y aurait eu accès que grâce à l’intervention d’un membre de la Fédération camerounaise de football. L’article en question indique que la situation aurait pris une autre tournure lorsque Marc Brys aurait demandé à la CAF de prendre en charge les frais d’hébergement pour son assistant. La sollicitation du Belge n’aurait pas été jugée favorable. Brys aurait donc été obligé de partager sa chambre et son lit avec son assistant.
À en croire cet article, le malaise entre la Fécafoot et Marc Brys semble profond et dépasse le Cameroun pour toucher l’international. Si ces informations sont avérées, il est temps que l’instance faîtière du football camerounais et Marc Brys enterrent la hache de guerre au grand bien du football camerounais et de l’image de ce pays qui a tout donné dans ce domaine.
Ah oui je trouve que Joachim mununga n’allait pas juste aller question de garder sa dignité mais ayant espoir à marc brys voilà la façon dont il à été ridiculiser.bah c’est ça l’Afrique au fait.