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Cameroun : Maurice Kamto condamne les violences exercées sur les Députés Nintcheu et Osih

Maurice Kamto leader de l'opposition
Maurice Kamto leader de l'opposition

Dans une note d’information publiée sur sa page Facebook officielle ce jeudi 24 janvier 2019, LeBledParle.com apprend d’Olivier Bibou Nissack que Maurice Kamto condamne la brutalité exercée contre les manifestants à douala ce mercredi 23 janvier 2019.


Maurice Kamto discours renaissance nationale
Maurice KAMTO, capture vidéo Lebledparle.com – DR

En effet, Les deux cadres du Social democratic Front (SDF), le régional Littoral Jean-Michel Nitcheu et le Vice-président national Joshua Osih, qui ont entamé une marche à Douala cet après-midi du 23 janvier, ont été interpellés au lieu-dit Douche Municipale à Akwa, par les forces de l’Ordre.

Face à cette situation, Maurice Kamto a réagi à travers son Porte-parole. Le candidat malheureux à la dernière élection présidentielle condamne les violences subies par les deux honorables. « Le Président Élu, Maurice KAMTO, s’indigne, condamne et s’offusque du traitement policier brutal et arbitraire réservé hier mercredi le 23 janvier 2019, à deux députés de la nation et aux personnes manifestant à leurs côtés à Douala dans le cadre de l’exercice de leurs droits constitutionnels de liberté de manifestation et d’expression. Ces faits sont d’autant plus graves qu’ils s’appliquent à des élus en fonction au Parlement tous les deux », peut-on lire sur la page officielle du Porte-parole de Maurice Kamto.

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Maurice Kamto  condamne aussi l’attitude « arbitraire » des forces de l’ordre qui empêchent les camerounais d’exercer leur droit fondamental. « Il est totalement inacceptable que par la violence et l’arbitraire, les forces de l’ordre viennent ainsi par leurs agressions faire barrage à l’exercice par les Camerounais de leurs droits constitutionnels fondamentaux », poursuit Olivier Bibou Nissack.

Pour rappel, le MRC envisage une grande marche nationale de revendication ce samedi 26 janvier 2019. Les militants du MRC affirment qu’ils vont marcher avec ou sans autorisation.

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