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Crise anglophone au Cameroun : Une enquête judiciaire ouverte contre Fontem Aforteka’a et Nkongho Félix, leaders du Consortium et du SCNC

Mouvement Southern Cameroun

Actuellement détenus au Secrétariat d’État à la Défense (SED) à Yaoundé, ces tètes de proues de la crise en zone dite anglophone devront répondre des faits qui leurs sont reprochés.


Mouvement Southern Cameroun
Le Southern Cameroon national council (SCNC) – DR

Le ministre de la communication dans un communiqué signé du 19 janvier 2017, porte à la connaissance de l’opinion nationale et internationale qu’en dépit du dialogue engagé par le gouvernement, pour rechercher des solutions aux revendications des enseignants et des Avocats des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, des extrémistes ont lancé des appels aux villes mortes et organisé dans ce cadre, et à d’autres occasions, des violences et des exactions diverses contre les citoyens et leurs biens.

Pour approfondir :   Florian Ngimbis à propos du contentieux post électoral : « Les Camerounais ont découvert avec effroi les absurdités d’un système taillé sur mesure »

Après Fontem Aforteka’a Neba et Nkongho Félix Agbor Balla qui se réclamment du Southern Cameroon national council (SCNC) et le Consortium de la société civile du Cameroun anglophone (CRCSC) interdits d’activités le mardi, 17 janvier 2017, ont ainsi été interpellés et placés sous la maison de la justice dans le cadre de l’enquête judiciaire. La procedure est ouverte pour établir les responsabilités des exactions qui ont causé de nombreux dégâts matériels et humains dans les régions du Nord Ouest et du Sud Ouest. D’autres restent recherchées pour les mêmes motifs.

Le communiqué du Ministre Issa Tchiroma.

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