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Jacques Fame Ndongo: « La longévité du président Paul Biya est un bonus»

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A quatre jours de la célébration du 37ème anniversaire du président Paul Biya à la magistrature suprême, Jacques Fame Ndongo dresse le bilan qu’il dit être positif sur toute la ligne.

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Paul Biya (c) Droits réservés

Le 4 novembre 1982, le premier président de la République du Cameroun Ahmadou Ahidjo démissionna du pouvoir après 22 ans de règne. Selon la constitution de cette époque-là, c’était le Premier ministre qui succédait au chef de l’Etat, malade, démissionnaire ou décédé.

C’est ainsi que le 6 novembre 1982, Paul Biya alors Premier ministre, prêta serment et devint le deuxième président de la République unie du Cameroun mutée en République du Cameroun le 4 février 1984.

Réélu en 1987, 1992, 1997, 2004, 2011 puis 2018, Paul Biya célèbre ce 6 novembre 2019, son 37ème anniversaire de succession à la magistrature suprême du Cameroun.

Jacques Fame Ndongo, membre influent du Rdpc, parti au pouvoir, invité dans le cadre du magazine Dimanche midi au poste national de la Crtv ce 3 novembre 2019, résume que « la longévité du président Paul Biya (au pouvoir, Ndlr) est un bonus ».

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Pour le ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur, le bilan du Nnom Ngui est largement au-dessus de la moyenne.

Tenez : le renforcement de la sécurité, la démocratie à travers la liberté de la presse notamment avec l’arrivée de la liberté de la presse qui a vu naitre aujourd’hui des centaines de journaux, les radios ainsi que les chaines de télévision.

Dans la même perspective, ajoute le membre du gouvernement, les réalisations sociales à l’instar du port en eau profonde Kribi, les barrages et les routes entrent dans le registre des « grandes réalisations » de Paul Biya.

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Le chargé de la commutation au comité central du Rdpc, relève également la paix et la sécurité que le natif de Mvomeka’a maintient malgré les menaces auxquelles fait face son pays notamment la lutte contre Boko Haram sans oublier la crise anglopohne qui sévit depuis 2016.

somme toute, à en croire la démonstration de l’ancien directeur de l’Ecole supérieure des Sciences et techniques de l’information et de la Communication(Esstic), Paul Biya est le meilleur choix.

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